André Boisclair a raflé les élections du Partie Québécois hier, 53.7 % une écrasante majorité par rapport à sa plus proche rivale madame Marois (30,6%) La course qui avait prise des allures de guerre me fait soulevé quelques interrogations.
Tout d'abord, quel débat y a-t-il vraiment eu durant cette course qui nous étais promise comme étant un brassage d'idée en règle. Le seul débat que j'ai pu voir concernait la consomation de cocaine de M. Boisclair qui fut soldé par un mea culpa. Les questions d'écologies, de relations internationales et de société laissé de côté me font pensé qu'il s'agissait plus d'une course à la marginalité qu'à la réel compétence. Marginalité puisque Mr. Boisclair est le premier homosexuel élu chef du Parti Québécois (j'ose d'un parti au Québec) et Madame Marois une femme forte de caractère. Je suis convaincu de la volonté des deux candidats de vouloir amené le Québec a bon port mais j'ai un sérieux doute sur leur réel capacité à le faire.
Cependant, mes craintes se sont effacé lors du discours de victoire hier prononcé par Mr. Boislcair. La mondialisation, les services, l'allignement politique l'englobement de la langue et surtout et surtout la fin du discours en anglais avec des pointes rassembleuse pour rejoindre les citoyens anglophone de la province. Aurions-nous enfin un chef digne de ce nom qui a compris l'essentiel de ce qu'est le peuple Québécois? Je me permet de dire oui et d'espérer sincèrement avoir raison. Malgré une petite crainte je crois que Mr. Boisclair pourrait être le bon candidat.
Je tiens a souligné au passage la classe de Mr. Boislcair et de Madame Marois pour l'unité qu'ils ont fait preuve après l'épreuve de la course à la cheferie. L'heure est au rassemblement et comme dirait Loco Locass; '' Libérez-nous des libéraux!''
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