samedi, octobre 22, 2005

Idéaux

Il suffit de vivre ses propres idéaux
Pour arrêter d'envier ceux des autres
De modifier l'envi par un modèle
Le chemin de la paresse et de la facilité
Ne sert qu'aux faibles qui veulent sans travailler
Qui espère sans agir
Et qui mente au lieu de vivre.

Vivez vos idéaux comme un combat personnel constant et sans relâche. Alors vous connaitrez jamais la déception puisque ce combat n'a pas de fin.

mercredi, octobre 19, 2005

Indigné! Comment ne pas l'être dans un monde ou les unes de journaux locaux ventent les mérites de l'équipe de Hockey local tandis que la course à notre avenir fait rage. Les romains disait du pain et des jeux? Les ROMAINS! Il y a des milliers d'années. Sommes-nous à ce point inconscientisé qu'il nous faut oublié notre quotidien pour ce bercer d'illusion douteuses? Pendant que les stations télé congédie les animateurs avec des conviction1 et où les lecteurs de nouvelles suposément impartial agissent en propagande manifeste. J'ai des interrogations sur la qualités de ce que nous donnons à nos fils et nos filles, peu importe ce qui est écrit, désormais il faut faire un impact. Quand comprendrons nous que notre capacité si fragile a comprendre le monde qui nous entoure n'est pas insensible aux opinions des autres. De simple humains avec du temps d'antenne deviennent des références sans toutefois avoir les qualitées requise pour être un bon juge. Chaque opinion mérite d'être entendu sans être condamné que ce soit les sionniste ou les fascistes chacun à droit de dire ce qui lui plaît et quand sa lui plaît. Pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas de paroles qui doient être muselé au profit d'une autre. Nos parents qui ce sont battues pour la liberté d'expression sont maintenant accroché au bulletin de nouvelles réalités. Pourquoi laissé les conglomérats décidé pour nous. Soyez vous même. Nation lève toi et pense. Cesse de t'indigné sans le pensée, cesse de le pensée sans t'indigné, parle crie et sois convaincu puisque c'est la seule facon d'être convainquant.


Lueur Noir in blue Posted by Picasa

mardi, octobre 18, 2005

Essais

Pourquoi ce baisé ne pourrait-il pas être éternel. Quel est cette mode sociale typiquement américaine d'un partage généralisé. Dans une société basé sur l'individualisme pourtant si évident, comment l'extrême opposé en matière de relation fait-il pour exister. Comment des gens peuvent-ils prôné ainsi le plaisir personnel tout en étant totalement ouvert a tout ce qui est un partage des corps d'autrui. Où est passé la noblesse passé, quand est-ce que la monogamie si romantique a-t-elle perdu son charme au profit d'un sentiment libérateur de désirs sexuel et d'acceptation de plusieurs partenaire dans la vie de l'autre. Je dis non! Non à ce mensonge qui veut que l'on aime plus l'être aimé en le laissant vaqué ailleurs. Comment le fait d'accepter que l'amour puisse être partagé est un acte d'amour? Je le prend pour acte de lâcheter, plus que d'amour. L'enveloppe charnel n'est en fait qu'une enveloppe je l'accorde et donc ne devrait en rien influencer les sentiments? J'accepte la prémisse mais je refuse la conclusion de vouloir en déduire qu'il s'agit forcément que d'une facon de comblé des instincts primaire comme la sexualité. Le romantisme du monogamisme que l'on essais aujourd'hui de faire passé pour une suposé attaque fasciste du bonheur potentiel d'autrui, pourquoi le fait de réservé le corps à la personne qui a notre tête devrait-il être un acte négatif. Au contraire il démontre une volonté réel et un effort sentie de se rapprocher de l'autre, de lui donné une preuve tangible de fidélité, une preuve physique que tant d'entre nous avons besoin pour croire. Après la révolution sexuel des années 70 ou nos parents on fait de l'amour un acte normalisé a l'excès, un acte qui a passé l'espace d'une génération à la concécration suprême de l'amour à une banalité. Comment peut-on ne pas condamné cette hypocrisie collective. Le plus grand crime fu de tué le sentiment dans l'acte et de faire une différence entre le sexe et l'amour fesant de nous des sortes de bêtes où les ''je t'aime'' se confonde avec les ''je te veux'' et avec les autres prémice au sexe qui n'en est plus que là pour certain et ou pour d'autre il s'agit encore d'amour véritable. Ce sont dans ses petites nuances que je vois de jeunes femmes se perdrent, des femmes mûres mourir avant l'âge et des déesses devenir diablesses. Les références, les lois non écrite bafouée et lorsque l'on ose s'indigné nous sommes désormais des puritains de la vieille garde et pourtant je n'ai que trop peu de printemps ou de fanatique religieux pourtant je suis athés. Certains qui prétendent a l'évolution me diron d'évolué et moi je dis que vous regressez. Pour paraphrasé Mr. Falardaux ''une connerie dit par un millions de personnes n'est qu'une connerie plus répandue'' Et je m'indigne de la gloire passé de mes ancêtres charmeur et de ceux qui savaient encore traîtés les femmes en dames et celles de ceux-ci qui savaient encore leurs valeurs.

-J.-


Tombale

Le mur de brique
Pressé contre un autre mur de pierre
La défence que je fabrique
Devient mon étaux qui se ressere

Sans bouger je m'effrite
Et pour chacune des poussières
Que sous le poids je perds
Je leur fait un rite

L'artillerie qui me bombarde
Jamais ne me vaincra
Mais dans la tourmante peu être s'arrêtera
Le chant mélodieux de mon barde

Les séquels que j'anticipes
Que ma droiture ce dissipe
Que mes blessures saigne encore
Qu'à bout de sang revienne la mort

lundi, octobre 17, 2005

1939 ou 1945

Mes ancêtres qui brûle de vengeance
Pour un idéal passé
Qui n'a plus aucun sens
Déjà qui est dépassé

Ma tête qui balance toujours
Entre la nuit et le jours
Les uniformes noirs ou bleu
Qui en moi allume un feu

Gloire de mes idéaux d'avant
Vaincu par ceux d'aujourd'hui
Auxquels je ne peux prêté serment
Car ils ont tout détruit