vendredi, janvier 21, 2011

Quote

Khalil Gibran has an excellent text about parents and children:

Your children are not your children.
They are the sons and daughters of Life’s longing for itself.
They come through you but not from you,
And though they are with you yet they belong not to you.

You may give them your love but not your thoughts,
For they have their own thoughts.
You may house their bodies but not their souls,
For their souls dwell in the house of tomorrow,
which you cannot visit, not even in your dreams.
You may strive to be like them,
but seek not to make them like you.
For life goes not backward nor tarries with yesterday.

You are the bows from which your children
as living arrows are sent forth.
The archer sees the mark upon the path of the infinite,
and He bends you with His might
that His arrows may go swift and far.
Let our bending in the archer’s hand be for gladness;
For even as He loves the arrow that flies,

so He loves also the bow that is stable.



jeudi, janvier 20, 2011

incomplet3

Cette nouvelle candeur
Et l'admission de ta peur
M'ennivre la douceur
Et tu berce mon coeur

Je t'apprend plus chaque jour
Nous trouves avec moins de detour
Perce ce mur qui n'en était pas un
Et je ne veux plus être a jeun.

Serre moi que je retourne l'entrainte
Laisse moi te prendre sans feintes
J'ai toujours voulu voir l'aurore
Accrocher a ton port



Je te rêve... je ne fini plus de te rêvé...

incomplet2

Ton paires me transperce
Le souvenir de ta voie me berce
Le fantome de ta présence
Et je vis ton absence

Jusqu'à notre prochaine rencontre
Je vivrai au rythme de ma montre
Chacunes des secondes
Me rapprochant de ton monde

Des cascades d'ir
Emplisse ma tête quand je dors
Je sens mon sang
Qui bouillonne en t'attendant

Et dans ce rêve que tu fis
Et que depuis si longtemps nous fuis
J'accroche mes espoirs
De nos désirs et de nos futurs gloire.

mardi, janvier 18, 2011

Jann Arden - Counterfeit Heart

Devastatingly complimentary stay
Far away from me
With your counterfeit heart

I'm in misery
Irreversibly
Come and rescue me
From your counterfeit heart

This catastrophe won't be the last of me
If you asked me I wouldn't give it back
Who knew butterflies could ever compromise
I shouldn't be surprised at how I love you

I can't find content
I don't know where it went
Has it all been spent
On your counterfeit heart

Oh, oh, oh, oh

This catastrophe won't be the last of me
If you asked me I wouldn't give it back
Who knew butterflies could ever compromise
I shouldn't be surprised at how I love you

So take your chivalry
Fold it carefully
It wasn't meant for me
Love your counterfeit heart
Love your counterfeit heart
Love your counterfeit heart

incomplet

Tes yeux me perce
Même dans ton absence
Je vois ce regard et son essence
Et c'est le souvenir de ta voix qui me berce

Les papillons volent en moi
Même lorsque ce n'est que ton image
Mes rêves qui vogue au large
Dans l'image que j'ai de toi
...


retourner

La rage frappe le vide
Et le défoulement ne se fait pas
Con/damné a porté ma colère
En moi, fusionnant avec mon être.

Les armes avec lesquelles j'aurais du visé
Ce retourne contre moi
Et la gachette sera quand meme pressé
Et quelqu'un tombera quand meme

tout les mensonges me pèse
Je n'ai jamais voulu
je n'aurais jamais cru
que tu serais ce qui me tuerais.

dimanche, janvier 16, 2011

musique des rêves.

Trois mesures
Une progression lente
Mélodique et dramatique
Pianissimo à forte suivant le cours de mes humeurs

Et la brulure du froid contraste
Avec la chaleur de mes larmes
Le piano qui souligne les peines
Les violons qui bercent mon âme

C'est pourtant sur tes portées que je voulais rêver
Dans ta symphonie que je voulais vivre
Jamais je n'aurais crue qu'il serait requiem
Jamais j'aurais pensée qu'il finirait en robe noir

J'enrage, j'en pleure
d'avoir crue a une telle musique
de t'avoir crue quand tu me disais l'entendre toi aussi
mon rêve n'était que rêve...


en temps

L'envoutement d'un moment trop puissant
Dans les pénombres la toile m'ennivre et me porte
Je sens les éclats de lumiere me réchauffant
Et dans un tempo lent, l'obscurité disparait

Deuxieme temps, a force de regarder
Je finis par ne plus voir et me concentre sur le brillant
Et pendant que les éclats diminue
Je ne vois plus les ténèbres qui m'enveloppe

Troisieme temps, je me retourne
Il n'y a plus de clarté dans cette peinture
Ce qui me réconfortait n'y est plus
Je sens le froid reprendre ses droits

Dernier temps, je vois que je n'ai rien vue
Les douceurs de l'oeuvre me brule la peau
Chaque regard fait mal à l'âme
Cette toile si belle, maintenant mon chatiment.