vendredi, novembre 16, 2007

La nuit qui m'emporte
Je glisse dans l'ardeur de mes pensées
La vie qui ma porté et blessé
Seulement pour prouvé qu'elle est plus forte

Les spleens constant et récurant
comme un froid intense qui ne me quitte pas
Et qui suis toujours à chaque pas
Et qui va me précédent

Toujours au fond de moi la noirceur qui reste
La lumière qui vient qui va
Mais la pénombre qui vaincra
Ma propre peste

Je voudrais les plages de Cuba
Mais ce sont les plaines de Sybérie
Qui me font sentir en vie
Et qui gagnera toujours le débat

Et les mots qui flottent dans ma nuit
Qui trouve parfois l'oreil
Qui me donnera un peu de soleil
Et par qui je trouverai qui je suis

Les alliés ce font de plus en plus rare
Cette rive ou jadis je suis resté seul
Qui m'engouffra dans sa gueule
Ma solitude qui cherche le phare
Les raisons qui déraisonnent
Les pourquoi ce bousculent
Les réponses aussi bonnes que mauvaise
Les solutions comme des problèmes et vice-versa

Dans la complexité soudaine
D'un moment simple
La pensée qui décolle
Les idéaux qui s'effondres

random

I wish I could buy books and just put my hand on it 5 sec to read it completly.
At night, when all sleeps and the sun is long gone. When the last sound of the city as died and when the street are desert even from those who are not easily sleepy. My mind rise from the coma it was in all day. In this darkness that comfort my soul and let free my thoughts I wonder true the realm of philosophy. I wonder, question and interogate the day that just past, the one it is to come and many more that already have been. When finally I get to the state where I can just enjoy the flow and see some conclusion I reach out for you and share the experience I got.