mardi, février 28, 2006

L'île verte

Sur une île verte ou me conduit mon songe d'une nuit, je marche! L'air salin remplis mes poumons et une douce odeur de menthe flotte aux alentours. Le vent caresse mon visage et se brise sur le manteau au colet relevé qui me garde au chaud. Les pas s'enfonce dans la rosée et le ciel est d'un bleu gris qui présage une pluie tiède et fine. J'attend au loin les rebonds de la mer qui se brise depuis des millénaires sur les flancs rocailleux des falaises. Loin de tout et de moi aussi, la tête enfin qui rapatrie le corps, la communion est grande et parfaite. Mes pas qui me guide puisque je ne vise rien, l'objectif est de ne pas arrêté et je laisse mes jambes choisirs le chemin. Et la rocaille qui jou sa mélodie sous mes bottes dérangeantes et qui déboule et me précède sur les petits chemin. La civilisation ne c'est pas propager jusqu'ici, elle n'a pas amené son fiel et la solitude prévaux. Douce communion avec moi-même et toujours le vent qui devient la douce compagne de cette union parfaite. Je regarde cette falaise terrible de hauteur du bout des pieds je m'avance pour voir où la mer meurt. Je m'assis, m'assoupis et ne me réveille plus!

lundi, février 27, 2006

M'effondre dans le trou

Et mon mal
Qui m'avale
Me coule dans la douleur
Ou je perd les heures

Ërte plus en fesant moin
Pour partir loin
De la critique
Et des guimiques

L'éloignement mentale
Vers un monde astral
Sans le matériel
Et toutes les belles

Vivre l'espérance
Au lieu d'espéré la vivance
Dans le milieu de tout
M'effondre dans le trou.