mercredi, décembre 14, 2005

gauche... trop tard...

La où jadis brillait la flamme
Le noir opaque de l'inconscience
Ses yeux coupant à même mon âme
Là où j'étais éblouis par la brillance

La route si belle
Elle me chuchote la vitesse
J'espère secrètement l'ivresse
D'un face a face mortel

Comme un écran
Ton clone qui me prend
Je ne veux pas voir
Je ne veux pas croire

Titubant
L'image de ce néant
qui blesse
qui me transperce

Un simple tournant et tout est fini
L'autre coté les lumières jumelles m'apellent
J'imagine déjà tout ceux qui prie
Mes yeux les regardants du ciel

pourquoi mais pourquoi donc?

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