vendredi, février 26, 2016

Le Contre-Amiral et la Lieutenant - partie 1.

Conte Sci-Fi.

Salle de commandement - jours 103 - Navire Zeus

Devant moi le capitaine de son ton calme habituel s'appuie sur la table des cartes  me relève; ''Contre-Amiral Levëil merci pour votre nuit de service je prend le controle de mon vaisseau.'' L'amiral a une facon de dirigé ou tout à le ton de l'ordre, mais sans jamais l'être, je crois que c'est une partie de ce qui a batti sa légende. Je le salue le plus officiellement, tourne les talons et sort de la salle.

En sortant je détache mon premier bouton pour me libérer le coup et me dirige tranquillement vers mon quartier. Mi chemin je m'arrête adossé au mur pour attendre. Mes nuits sont longue et tranquille, mais c'est ce moment précis que j'attend toujours avec impatience, dans une trentaine de secondes et cette attente est douce et fébrile. J'ai le coeur qui accélère un peu, le temps d'imaginer en fermant les yeux, la respiration est plus saccadé et j'attend, j'attend... Il y a une forme d'anxiété étrange qui s'installe en moi, une nervosité inutile, mais agréable et tolérable parce qu'elle précède ce que j'attend. J'ai toujours eu beaucoup de calme dans toutes mes fonctions officielles. J'ai vécu des batailles et des combats épique avec l'Amiral, mais a aucun moment cette anxiété la ne ma effleurer. J'attend le sas de la salle de commandement s'ouvrir de loin, plus que quelques secondes, je regarde par la vitre le reflet qui s'approche derrière moi. La lieutenant Ponz penche la tête comme elle le fait toujours, tir sur son elastique qui tient ca toque et les cheveux noir tombe en cascade sur ses épaules. Ce moment qui dur en réalité quelques secondes tout au plus pour moi dur en vérité quelques minutes, tout est au ralentie tout est délicieusement lent et doux. Évidemment elle nn'a aucune idée que j'attend ce moment a tout les jours. Aujourd'hui je tentes quelque chose de nouveau, pendant son approche j'ai retiré mes épingles de contre-amiral, mon idée étant que peu être je pourrai lui parlé si je ne me porte pas mon grade. Je ne veux pas être son supérieur, un supérieur n'a pas le droit de fraternisé, le temps ou j'étais lieutenant remonte a loin, mais quand je la vois comme ca s'avancer je me dis toujours que je retournerais bien à ce grande l'espace du moment pour pouvoir lui parler. Voilà plusieurs mois qu'elle est a bord et je n'ai toujours pas réussi a lui parler et je ne sais pourquoi mais ajourd'hui je ne peux plus me retenir. Nous passons environs la moitié de la nuit ensemble pourtant, dans un contexte officiel bien sur, mais quand même pour beaucoup il en aurait assé. J'attend encore quelques seconde pour mon moment préféré, celui qui ma fait trouver ce coin bien precis pour m'arreter, celui ou elle ce secoue les cheveux en marchant je suis exactement au bon endroit et je ferme les yeux dans l'attente de ce qui suit. Je l'entend passé a coté de mon corridor le son de ses bottes sur les plaques de métal comme une petit cliquettis qui me semble d'une douceur infinie et puis voilà le moment; l'odeur de ses cheveux, le mélange de son parfum a mes narines, l'air qui la suit comme la promesse d'un monde complet de beauté et de douceur, ce trois seconde de pur bonheur est mon moment préféré je crois des derniers mois sur ce navire, petit moment ou je sens que la perfection est bien de ce monde et bien vivante. Il y a longtemps, trop longtemps que ce genre de joie ne m'avait pas effleuré.

J'en oublie mon idée, ce qui me met derrière un peu puisqu'en ouvrant les yeux elle est déjà une vingtaine de pas devant moi. Je me mets en marche en essayant d'accéléré sans courrir et surtout sans avoir l'air pressé. Elle m'entend, retourne ca tête, toujours au ralentit dans ma tête... est-ce que j'ai arreter de marché? Non ca va! J'y suis presque, elle me fixe ouvre les yeux plus grand s'arrête sec, ce met droite comme une barre et ce met au garde-à-vous. Merde, ca ce corse pour moi, l'idée d'enlever les grades na visiblement pas fonctionner et je suis presque en train d'oublier que le but de l'operation est de lui parler en passant tout droit, un pas de plus devant elle je m'arrête la regarde, essait de ne pas avoir l'air complètement abrutis et la chose la plus intelligente que je trouves à dire est; ''Repos Lt.'' Elle ce met alors en position d'attention mais toujours droite, je ne suis pas sortie de l'auberge pour faire lui faire oublier le grade. Je lui demande; ''Pourquoi le garde-à-vous Lt?'' Les yeux confuses elle me regarde comme si j'étais un Alien et me réponds comme si j'essayais de la testé; ''Parce que le code 3.11 des règles de la flottes stipule que lorsqu'un officier est en...'' Je suis un peu trop surpris pour réagir sur le coup mais je la coupe et lui dit; ''Lt. j'ai enlevé mes grades vous pouvez me parler normalement, il n'y a pas de grade présentement.'' Je crois qu'elle est plus confuse qu'autre chose et me fait répondre; ''Bien sur Contre-Amiral...'' toujours au repos, toujours a l'attention. Mon essais est un échec. J'essais tant bien que mal de m'en sortir en disant; ''Lt. Ponz est-ce que je peux vous apellez par votre prénom... svp.'' Bon dans mon intérieur je me traite de ridicule et de tout les noms, me disant que j'ai probablement l'air d'un enfant qui demande la permission et d'un complet demeurer, décidemment je suis plus a l'aise de m'exprimer quand j'ai mes grades. Elle de plus en plus confuse; ''Contre-Amiral... heuuu je ne crois pas que nous pouvons changer nos noms d'insigne, est-ce qu'il y a quelque chose avec mon nom?'' Elle est décidemment confuse par ma demande et est surement aussi parallèlement en train de ce demander si je n'ai pas complètement perdu la carte. ''Bien sur Lt. je voulais dire juste lorsque nous sommes tout les deux hors-services, comme maintenant.'' Ma tentative est de plus en plus maladroite, je sens la chaleur monté en moi, oh merde je rougis!!! ''... Alix... heuuu Contre-Amiral?'' Je sais très bien son nom, mais l'entendre le dire dans sa bouche pour moi est comparable a la plus grande des victoires et pleins d'espoir je répond; ''Hans...'' - ''... pardons?'' - ''Mon nom à moi est Hans'' Elle cherche clairement quoi faire avec cette information qui me semble maintenant que nous y sommes rendu d'un inutiles complet. Pour tenter de la rendre plus a l'aise je tends la mains vers l'avant; ''Merci Alix, tu fais du bon travail là bas'' Est la seule chose non dénudé de sens qui me vient en tête, par contre rien pour aider a ma gêne lorsque je sens sa main prendre la mienne pour la serré j'ai l'impression que mes jambes vont me lacher, je recois un 2000 volts de courant qui me traverse et manque proche de me jeté au sol. ''Merci beaucoup Contre-Amir... je veux dire.... Hans?'' Le silence est une chose particulière, on ne se rend jamais compte qu'il est là et présent jusqu'à ce qu'il soit déjà lourd, comme un trou noir il a une masse infinie, mais aussi instantanné comme une explosion. ''Merci Alix (mais pourquoi je la remercie moi au juste?) bonne soirée.'' Elle me regarde avec un sourrire un coin elle rit manifestement un peu de moi, mais je veux bien faire rire de moi pendant le restant de ma vie si c'est le sourrire et les yeux qu'elle pose sur moi. Je ne peux pas imaginer meilleure facon de faire rire de soit. Plus je penses plus le sourrire s'élargie et elle ce met a rire un peu en essayant de se retenir, elle pense la tête pour ne pas que je vois et je me rend compte que je suis figé là devant elle depuis quelque seconde déjà a ne pas répondre et juste la regarder, je dois me reprendre; '' Je dois y allé j'ai des rapports à remplir, bonne soirée Alix'' - ''Toi aussi Hans.'' qu'elle me répond la voix pleine de rire, je paris qu'elle va avoir du bon temps a ce payer ma tête lorsqu'elle rentrera dans la barraque avec les autres, j'imaigne la conversation; '' Je crois que le Contre-Amiral commence a faire de la dyslexie.'' Je tournes les talons et marche rapidement vers mes quartiers, la tête basse un peu honteux, un peu sur un nuage. Qu'elle femme...

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