samedi, juin 26, 2010

la nuit sans fin...

Une parole envolée sans attente
Et les yeux se figent
L'intimité au milieu de la foule
Une entreinte plus longue

Faux départ
Fausse impression
Basé sans trop savoir pourquoi
sur un moment trop court

Hypnotiser doucement
Comme une berceuse
regardant pour la premiere fois
voyons plus loins que les apparences

Confidences, paroles, gout de sucre
Ni trop chaud, ni trop froid
Vent de juin caressant nos peaux chastes
J'entrevois toi qui me voit moi

Et les lettres s'embalent
En parlant d'elle meme
Choc d'idée apréhendée
Ce transforme en une étrange complicité

Et avec les premiers rayons du soleils
Les yeux qui disent plus que les mots
Et ils s'aprennent
Ne pas dormir pour ne pas mourrir.

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