mercredi, mars 24, 2010

Ce qui a pignon sur rue.

Des larmes lourdes
J'en est tellement versé
Que je ne sais plus compté
Et pourtant tu restes sourde

Je perds mon temps
Pour ne pas perdre mon sang
Je bois mes heures
Pour ne pas sombré dans le malheur

Et coule, coule encore
Sang, larmes et fort
Je ne regardes plus
Puisque je ne sens plus

Les douleurs
Confirme mes peurs
Presse mes doutes
Sous le poids qui me voute

Et toutes les attaques que j'ai défendue
Et tout sa parce que je t'ai crue
Ais-je encore raison de te croire
Toi qui m'enlève tant d'espoir

J'engloutis mon mal
Sous mon sourrire matinal
Mais bien au froid le soir
Il n'y a que moi qui broie du noir

Blanche nuit
Sommeil qui me fuit
Les rêves qui n'en sont plus
Les cauchemars on pignon sur rue

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