samedi, décembre 27, 2008

mains.

Je ferme les yeux
Oublie les voix et le volume
Ce qui pour eux une fraction de seconde
Est pour moi l'essentiel de ma nuit

Dans le noir derrière mes paupières
Je tend la main vers la tienne a mes cotés
Le geste annondin presque par réflexe
Je sens déjà la chaleur de la tienne

J'ouvre mes paupières quand je serres le vide
Elle n'est plus là...
Je suis seul
Et le bruit des conversations reprend.

Aucun commentaire: