mardi, avril 24, 2007

jeunesse passagère.

Le corps qui déjà s'effrite
Peu a peu meurt et s'effondre
Pourquoi tant de presse a le chérir
Puisqu'il est si pressé de partir?

Les regards moins pétillant
Déjà terni par le temps
Trop d'épreuve qui ravage
Trop de fois la rage

Qui deviendras-tu toi qui repose sur ton corps?
Demain lorsque la jeunesse te quittera, que deviendras-tu alors?
Le souvenirs de ta beauté antérieur émane
Que restera-t-il pour te sentir femme?

Et ta tête que tu caches si bien derrière tes atours?
Qui pourra vraiment encore la voir après tout ces tours?
Comment vivra tu toi demain qui ne vit que pour aujourd'hui?
Et mes yeux s'emplisse d'eau de sentir la solitude que tu fuis.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

"Et mes yeux s'emplisse d'eau de sentir la solitude que tu fuis."

Malgré que ce poeme parle de jeunesse passagère, c'est fou comme cette phrase décrit ce que je ressens à merveille, continue à écrire pour que j'aille le plaisir de continuer à te lire :)

Je m'ennuie de toi :(
Marie-Eve xxx