lundi, juillet 31, 2006

joyeux spleen

Le secondes passe dans le néant
D'un monde de préjugés et de violence
La guerre est une macine économique
Qui protège ceux qui possède le papiers vert

Tous autant que nous sommes
Esclave de cette productivité
Dans les grandes tour vitrées
Les patrons regarde d'un air amusé

Ce qui est la vie aujourd'hui
N'est en fait qu'une recherche constante
D'escapade de l'esprit
Pour les journées qui nous mentent

Les heures meurt
Comme les enfants
Et leurs parents
Dans d'attroce douleur

Et tous regarde vers le haut
Ignorant le bas de la pyramide
Ou les genres meurt pour supporté
Celui au dessus bien perché

Et la gauche qui se croit
Et la droite qui décroit
L'anarchie irréaliste
Et personne pour aidé

Je hais la gauche qui ne fait rien que parlé
Que faire saigné
Ou que théorisé
Dans les pensées les plus nobles

Je hais la droite qui ne s'assume pas
Qui ne fait que compté
Que rationalisé
Dans les pensées les plus logiques

Je hais l'anarchie qui ne peut être
Qui ne fait que détruire
Qui ne fait que idéalisé
Dans les pensées les plus irréaliste

Brulé les anarchiste sur un bucher de douceur
Embrassé les droitistes dans leur froideur
Fusillé les gauchistes d'amitié réel
Aucun combat ne vaut l'oubli.

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