samedi, décembre 03, 2005

Le combat des justes

Pendant que certain se combattent
D'autre se complaise dans la suffisance
Le combat de ceux qui ce battent
Contre ceux qui regarde avec aisance

Meurt et meurt au combat
Les plus grand de nos citoyens
Pour vous a sonnez le glas
Parceque nous fesons rien

La paix qui chaque jour perd la bataille
Les valeureux jugés sans compréhension
La logique de gauche sans faille
Qui les condamne pour leurs bonnes actions

Ma plume est mon combat
Jusqu'à l'heure du courage
Mais d'ici là
Ce sont mes mots qui feront rage

1 commentaire:

Anonyme a dit...

J'aime beaucoup ce poeme