jeudi, juillet 28, 2005

goût de l'été

Un sourrire qui perce
Les plus profonde tristesse
Insensible à la lumière du jour
Pourtant touché par celle de ces atours

Les cheveux d'or
Brillant au soleil trop fort
Divagations les prenant pour abrit
Contre toute cette pluie

Imagination qui part en vrille
Et ses yeux qui brillent
Doux réconfort
Pour un corp mort

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