Flesh against flesh
Dream so vivid
Waking up hurt
Having everything snapped away
Soul trying to find the mate
The warmth such utopia
So permanent cold it is
And no more peace of mind
The head thinking so much
Pain from stopping
Numbness from trying
Indifference in silence
Mind flooded with fears
Fears emerging from thought
thought from needs
and needs from desire
Is there an end to that mumbling
taking so much space
taking so much energy
Leaving me empty.
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mardi, mai 11, 2010
jeudi, janvier 18, 2007
L'origine du Pheonix (1iere partie)
Et dans cette ensemble de feux
Ou se consume tout mes voeux,
Dans la noirceur de mes nuits
je pleurais sans bruit
Cette spirale qui tombais
infini et m'attirais
Toutes les couleurs du monde
Dans cette peinture immonde
Lorsque le ciel bleu rayonnais
Mes propres larmes me noyais
La rage qui fini par emporter la bataille
Et construire ce chateau sans faille
Mon passé
Si troublé
Qui masquait le bonheur
et la chaleur
Pendant que je prierais une fausse statue
Et que je regrettais ce qui m'avait plu
J'ai trouvé dans mes prières
La déesse que j'avais eu hier
Alors que je parlais de l'amour au passé
Jamais je n'aurais cru détenir la vérité
Mais dans ma quête sans fin
je n'avais pas vu ce que j'ai trouvé enfin
Toi, celle qui fut
Toi celle qui m'avait plu
Alors que j'en pleurais une autre
Et que le temps nous volais le notre
Dans un seul éclair
Mes regrets était clair
C'est bien toi qui me soutenait
Et une autre quête renait
Ou se consume tout mes voeux,
Dans la noirceur de mes nuits
je pleurais sans bruit
Cette spirale qui tombais
infini et m'attirais
Toutes les couleurs du monde
Dans cette peinture immonde
Lorsque le ciel bleu rayonnais
Mes propres larmes me noyais
La rage qui fini par emporter la bataille
Et construire ce chateau sans faille
Mon passé
Si troublé
Qui masquait le bonheur
et la chaleur
Pendant que je prierais une fausse statue
Et que je regrettais ce qui m'avait plu
J'ai trouvé dans mes prières
La déesse que j'avais eu hier
Alors que je parlais de l'amour au passé
Jamais je n'aurais cru détenir la vérité
Mais dans ma quête sans fin
je n'avais pas vu ce que j'ai trouvé enfin
Toi, celle qui fut
Toi celle qui m'avait plu
Alors que j'en pleurais une autre
Et que le temps nous volais le notre
Dans un seul éclair
Mes regrets était clair
C'est bien toi qui me soutenait
Et une autre quête renait
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