Et le silence inquiétant
Qui pèse sur nous
dans la pénombre de nos non-dits
je vois nos âmes mourrir
Et moi qui te veux tant!
Te sauvé au moins sinon t'aimé
Comment faire pour te rescapé
de ce que toi même tu t'inflige
Dans ma prose je vois la vérité
que dans ma vie j'essais de cacher
Et j'essais encore en vain de t'aimé
Toi ma douce dulcinée
Et mes promesses qui pèse
Et mes désirs qui m'alourdisse
Je vois en moi l'échec
d'être ce que j'ai toujours voulu
Je mourrai peu être
Toujours cette question en tête
Quel sera le nom
qui glissera de mes lèvres dans mon dernier soupir?