La nuit qui m'emporte
Je glisse dans l'ardeur de mes pensées
La vie qui ma porté et blessé
Seulement pour prouvé qu'elle est plus forte
Les spleens constant et récurant
comme un froid intense qui ne me quitte pas
Et qui suis toujours à chaque pas
Et qui va me précédent
Toujours au fond de moi la noirceur qui reste
La lumière qui vient qui va
Mais la pénombre qui vaincra
Ma propre peste
Je voudrais les plages de Cuba
Mais ce sont les plaines de Sybérie
Qui me font sentir en vie
Et qui gagnera toujours le débat
Et les mots qui flottent dans ma nuit
Qui trouve parfois l'oreil
Qui me donnera un peu de soleil
Et par qui je trouverai qui je suis
Les alliés ce font de plus en plus rare
Cette rive ou jadis je suis resté seul
Qui m'engouffra dans sa gueule
Ma solitude qui cherche le phare
vendredi, novembre 16, 2007
At night, when all sleeps and the sun is long gone. When the last sound of the city as died and when the street are desert even from those who are not easily sleepy. My mind rise from the coma it was in all day. In this darkness that comfort my soul and let free my thoughts I wonder true the realm of philosophy. I wonder, question and interogate the day that just past, the one it is to come and many more that already have been. When finally I get to the state where I can just enjoy the flow and see some conclusion I reach out for you and share the experience I got.
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