fuck this
All of this
This bullshit I beleived
And now fuck it!
This sadness thats filling me again
Same old shit
I have enough
already too much of it
Single words of no meaning
These quicky conversation
Nothing mean anything
No sens and no emotion
Me, still eating it without a word
Still giving small hint
Kindly ignored
breathless and powerless
I drop my arms
Not trying to reach anything
anymore
Im hopeless.
.
samedi, février 18, 2006
vendredi, février 17, 2006
L'épreuve de ma foie
Et ce tourbillon de solitude
qui continue de m'envahir
Finira par me trahir
Comme un étrange prélude
Dans ce noir qui me ré-envahi
Je cherche avec peine mon lit
Seul refuge de mon âme meurtri
C'est là que je me veux assoupi
Moi droit et fort
J'ai choisi mon sort
Mais en attendant
Meurt en moi l'amant
Et les oiseaux de fer m'apellent
M'invitant sur leurs ailes
A fuir pour la première fois
Et combattre le froid
La douleur plein la tête
fini les jours de fête
Et commence en ce moi
L'épreuve de ma foie
qui continue de m'envahir
Finira par me trahir
Comme un étrange prélude
Dans ce noir qui me ré-envahi
Je cherche avec peine mon lit
Seul refuge de mon âme meurtri
C'est là que je me veux assoupi
Moi droit et fort
J'ai choisi mon sort
Mais en attendant
Meurt en moi l'amant
Et les oiseaux de fer m'apellent
M'invitant sur leurs ailes
A fuir pour la première fois
Et combattre le froid
La douleur plein la tête
fini les jours de fête
Et commence en ce moi
L'épreuve de ma foie
jeudi, février 16, 2006
Vacille
La lueur en avale
Qui m'avale
Dans la noirceur sale
Et l'attente est infernale
Et le temps qui passera
Que je redoute déjà
Me conduit vers mon trépas
Je ne tombe pas
Vacille de mots trop rapide
De pensée trop crue pour être livide
Le sens qui devient liquide
Entre mes doigts je tiens le vide
Et lorsque vers la chaleur le soleil part
Dans la noirceur le froid m'accapard
Plus vif que le guépard
Moi je redoute ton départ
Qui m'avale
Dans la noirceur sale
Et l'attente est infernale
Et le temps qui passera
Que je redoute déjà
Me conduit vers mon trépas
Je ne tombe pas
Vacille de mots trop rapide
De pensée trop crue pour être livide
Le sens qui devient liquide
Entre mes doigts je tiens le vide
Et lorsque vers la chaleur le soleil part
Dans la noirceur le froid m'accapard
Plus vif que le guépard
Moi je redoute ton départ
mardi, février 14, 2006
spleen couleur vie
Je ne peux vivre de cette facon
A moitié satisfait
Soif constante du demain
Qui en fait n'est rien
Et cette brûlure de désir
Que je porte en moi
guide tout mes pas
Et m'éloigne de mon esprit
Dans un torrant d'expective
Je me sens sombré
Et mes mains moites
Se pétrifie de chaleur
Lorsque mon temps sera venu
Les regrets de ma droiture
Ou la satisfaction de ma force?
Je ne sais.
Mais le doute qui s'installe en moi
Peu être plus persistant qu'auparavent
Pousse ma tête dans toutes les directions
Et dans cette tempête je perd le nord
Spleen, spleen pourquoi reviens-tu me hanté
toi que je croyais avoir chassé
Tu reviens avec la couleur de la vie
Puisque j'ai tué celle de son vis-a-vis.
A moitié satisfait
Soif constante du demain
Qui en fait n'est rien
Et cette brûlure de désir
Que je porte en moi
guide tout mes pas
Et m'éloigne de mon esprit
Dans un torrant d'expective
Je me sens sombré
Et mes mains moites
Se pétrifie de chaleur
Lorsque mon temps sera venu
Les regrets de ma droiture
Ou la satisfaction de ma force?
Je ne sais.
Mais le doute qui s'installe en moi
Peu être plus persistant qu'auparavent
Pousse ma tête dans toutes les directions
Et dans cette tempête je perd le nord
Spleen, spleen pourquoi reviens-tu me hanté
toi que je croyais avoir chassé
Tu reviens avec la couleur de la vie
Puisque j'ai tué celle de son vis-a-vis.
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