Je ne peux vivre de cette facon
A moitié satisfait
Soif constante du demain
Qui en fait n'est rien
Et cette brûlure de désir
Que je porte en moi
guide tout mes pas
Et m'éloigne de mon esprit
Dans un torrant d'expective
Je me sens sombré
Et mes mains moites
Se pétrifie de chaleur
Lorsque mon temps sera venu
Les regrets de ma droiture
Ou la satisfaction de ma force?
Je ne sais.
Mais le doute qui s'installe en moi
Peu être plus persistant qu'auparavent
Pousse ma tête dans toutes les directions
Et dans cette tempête je perd le nord
Spleen, spleen pourquoi reviens-tu me hanté
toi que je croyais avoir chassé
Tu reviens avec la couleur de la vie
Puisque j'ai tué celle de son vis-a-vis.
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