Je regarde ses gens qui passent sans s'arrêter
Qui volent vers des destinations déjà connu
Regardant en avant
Pour ne pas voir derrière
Ceux qui frappe
Ceux qui marche
Ceux qui cours
Et ceux qui s'effondre
Tous aussi indifférent les uns aux autres
Et dans un moment de folie
D'originalité incalculé
L'arme sort et crache la mort
Avant de réalisé sont inutilité
Des vies sont fauchés
Celles de gens qui auraient pu changé le monde
Celles de ceux qui auraient pu le détruire
Dans les gettho de Montréal
Le suicide est la plus grande drogue
La violence est mentale
Bien plus que physique
Et les races s'affrontent
Au lieux de s'unir
Les minorités visible qui protège ce statut
Des majorités minoritaire qui espère
Et le vraie surnombre qui ce laisse faire
Dormé masse d'insensible
Vous rêvé de vos voyages en Floride
Fuyé donc ce froid ou dehors les sans-abris meurt
Fuyé les stations de métro ou chaque jours le junkie pleure
jeudi, novembre 16, 2006
mercredi, novembre 15, 2006
Je suis un fossil
Je suis un fossil
Née dans une époque qui n'est pas la mienne
Dans des valeurs débiles
Mon âme est trop anciennes
Je me repend d'être l'homme d'une seule femme
De ne pas toléré les abus quelqu'ils soient
D'exécrer les complots qui se trament
Et de ne vouloir en fait que la loi
Je me confesse d'être contre la dévolution
Contre les idées de révolutions
Pour le retour à la rectitude morale
Et le respect de la parole orale
Dans notre monde ou la parole ne vaux plus rien
Je donne la mienne comme l'on signe un contrat
Dans ce monde où les peuples ont faim
Je ne tend point la mains.
J'aime les femmes, déteste les filles
Je prêche les yeux qui brillent
Condamne les pupilles vitrés
Les plaisirs articielles trop vite consommé
Je me donne sans compté
Ridiculise la polygamie
Qui a mon sens n'est que calomnie
D'une mode faite pour régressé
Et mon coeur qui n'est qu'à toi
Qui vie si bien cette époque
Moi je ne crois qu'à toi
Qui me guide et qui me moque.
Je t'aime Phoenix de mes rêves
Ta rennaissance comme une trêve
À mon mal de vivre
Tu me donne l'envi de survivre.
Née dans une époque qui n'est pas la mienne
Dans des valeurs débiles
Mon âme est trop anciennes
Je me repend d'être l'homme d'une seule femme
De ne pas toléré les abus quelqu'ils soient
D'exécrer les complots qui se trament
Et de ne vouloir en fait que la loi
Je me confesse d'être contre la dévolution
Contre les idées de révolutions
Pour le retour à la rectitude morale
Et le respect de la parole orale
Dans notre monde ou la parole ne vaux plus rien
Je donne la mienne comme l'on signe un contrat
Dans ce monde où les peuples ont faim
Je ne tend point la mains.
J'aime les femmes, déteste les filles
Je prêche les yeux qui brillent
Condamne les pupilles vitrés
Les plaisirs articielles trop vite consommé
Je me donne sans compté
Ridiculise la polygamie
Qui a mon sens n'est que calomnie
D'une mode faite pour régressé
Et mon coeur qui n'est qu'à toi
Qui vie si bien cette époque
Moi je ne crois qu'à toi
Qui me guide et qui me moque.
Je t'aime Phoenix de mes rêves
Ta rennaissance comme une trêve
À mon mal de vivre
Tu me donne l'envi de survivre.
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