Insensible au torent
Qui forme mon environnement
Dans le tourbillions ou je gis
Me surplombant; des visages gris
Des émotions calculé
comme des tir d'archer
Le paraître et le style
Comme une âcre bile
Et dans cette démarche
Je vois tout ce qui ce cache
Et dans leurs abus de raisons
Mes mots sont une trahison
La franchise est trop pur
La couche trop artificiel
Et dans leurs paradis de fiel
Ils jurent
Je survole un monde qui m'est indiférrent
Pour lequel je n'ai aucun sentiment
En moi se perd l'humanité
Pour un animal qui ne l'a pas mérité
Alors allé gagner vos trophés
Un clou d'or sur votre tombeau
Qui vous cloura dans le faux
Et nous délivera de votre pensés.
samedi, février 25, 2006
mardi, février 21, 2006
Comme mon sang sur mon amour
Je voudrais que le temps s'arrête
Dans un moment d'extase totale
Qu'à jamais reigne l'instant présent
Que plus jamais la monotonie vienne
Et dans cette lassitude je me perds
Trop peux habitué aux rouages de la normalité
Je fuis ce que tu cherches
Parceque je cherche ce que tu fuis
Et dans cette valse Viennoise
Où nos têtes se perdent
Étourdient par trop de mouvement contraire
Nos pas reste une danse parfaite
Mon âme de loup
Violente une stabilité
Que je m'applique a faire mourrir
Et que tu t'appliques a faire vivre
Mes blessures de guerres qui refont surface
Meurtrie de douleur passé
Je ne sais que trop les conséquences de la défaite
Alors la victoire est obligatoire
Je rage mes coups
Pleure mes frappes
Les larmes coulant sur ma joue
Comme mon sang sur mon amour
Dans un moment d'extase totale
Qu'à jamais reigne l'instant présent
Que plus jamais la monotonie vienne
Et dans cette lassitude je me perds
Trop peux habitué aux rouages de la normalité
Je fuis ce que tu cherches
Parceque je cherche ce que tu fuis
Et dans cette valse Viennoise
Où nos têtes se perdent
Étourdient par trop de mouvement contraire
Nos pas reste une danse parfaite
Mon âme de loup
Violente une stabilité
Que je m'applique a faire mourrir
Et que tu t'appliques a faire vivre
Mes blessures de guerres qui refont surface
Meurtrie de douleur passé
Je ne sais que trop les conséquences de la défaite
Alors la victoire est obligatoire
Je rage mes coups
Pleure mes frappes
Les larmes coulant sur ma joue
Comme mon sang sur mon amour
lundi, février 20, 2006
torpeur
La flamme qui éblouis
Chache la noirceur
De mes pensées enfouis
Tranquillement surgissent de leurs torpeur
Ce moment de délice
N'est qu'un caprice
Me vôtre dans ta peau
Pour oublié le poids sur mon dos
Mes yeux qui me trahissent
Ils fuient le vice
Et la douleur toujours vive
De mon âme toujours naive
Chache la noirceur
De mes pensées enfouis
Tranquillement surgissent de leurs torpeur
Ce moment de délice
N'est qu'un caprice
Me vôtre dans ta peau
Pour oublié le poids sur mon dos
Mes yeux qui me trahissent
Ils fuient le vice
Et la douleur toujours vive
De mon âme toujours naive
S'abonner à :
Messages (Atom)