La nuit qui m'emporte
Je glisse dans l'ardeur de mes pensées
La vie qui ma porté et blessé
Seulement pour prouvé qu'elle est plus forte
Les spleens constant et récurant
comme un froid intense qui ne me quitte pas
Et qui suis toujours à chaque pas
Et qui va me précédent
Toujours au fond de moi la noirceur qui reste
La lumière qui vient qui va
Mais la pénombre qui vaincra
Ma propre peste
Je voudrais les plages de Cuba
Mais ce sont les plaines de Sybérie
Qui me font sentir en vie
Et qui gagnera toujours le débat
Et les mots qui flottent dans ma nuit
Qui trouve parfois l'oreil
Qui me donnera un peu de soleil
Et par qui je trouverai qui je suis
Les alliés ce font de plus en plus rare
Cette rive ou jadis je suis resté seul
Qui m'engouffra dans sa gueule
Ma solitude qui cherche le phare
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