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mardi, septembre 14, 2010

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Another sleepless night
Remembering other nights
When love was soft
When kisses were just.

mardi, septembre 07, 2010

words

As my heart failed to graps the meaning of these words
As my life, in front of me smile and go away
My hapiness goes on a long trip and will not be back without you
Dry smile betraying the true deepness in my look
It's not profond meaning but total emptyness
I cannot find myself, even in a mirror
Fleeing into numbness, even that feels better than consciousness
Silence hurts, words too!
Not sure wich one I prefer anymore.

Brûlé

Dans la foulée de la mort ambrée
S'embrase les mots du coeur
Noircie du carbone des passions passé
Asséchée du fiel des douleurs

Fleurs fânées par trop de caresses
Les bourgeons d'un nouveau printemps
Perdent déjà leurs couleurs
Les bouquets séché seront mon cerceuil

Les claires de lunes m'auront coutés
De sommeil et d'espoirs
Et lorsque je rêvais de paradis
C'est dans vos yeux que je voyais les anges

mercredi, août 25, 2010

auto-spleen

Je flotte dans un irréel cauchemars
Qui me porte entre rêves et réalité
Modifiant mes gouts et mes envies
Changeant mon sourrire pour une larme
Dans l'espace d'un moment je sens le monde basculer
Et le temps se rétracter
Je sens que tout glisse
Que tout me pèse
Et instantanément je vols
Et lorsque ma passion n'est plus
Lorsque ce feu qui brule s'éteind
Que reste-t-il de moi?
Ne suis-je que passion
Ou y a t'il plus de substance derrière moi
Quand je sens le monde se dérobé sous mes pieds
Ou vont mes prières pieuse?
Les gouts et les saveurs qui s'altère
Comme pour fuir l'immobilisme
Je suis en paix avec moi meme
Peu etre un peu trop
M'ennuirais-je du combat de jadis?
Dans la pénombre de ma chambre
C'est dans le froid de mon ame que je me glisse
Ou est partie le printemps de mes espoirs?
Dans un délire immense j'écris
Je cherche les mots
Qui mettront un terme a mon spleen
Mais mon spleen n'a pas de terme il est en moi
Partie intégrante de ma chère et de mon sang
Ce dernier qui me prend a vouloir voir couler
Et la confusion règne... pourquoi j'aime cette noirceur
Je l'embrasse comme une amante que je n'ai jamais quitté
Comme si c'était la dernière densité qui me restait...
J'essuis mes gouttes salées
Puis recommence.


mardi, mai 11, 2010

Empty

Flesh against flesh
Dream so vivid
Waking up hurt
Having everything snapped away

Soul trying to find the mate
The warmth such utopia
So permanent cold it is
And no more peace of mind

The head thinking so much
Pain from stopping
Numbness from trying
Indifference in silence

Mind flooded with fears
Fears emerging from thought
thought from needs
and needs from desire

Is there an end to that mumbling
taking so much space
taking so much energy
Leaving me empty.

vendredi, janvier 22, 2010

Hotage

J'ai le vague a l'ame
Ne partira-t-il donc jamais?
Est-ce moi ou est-ce elles?
Comment dire cette solitude qui s'installe

D'un plaisir pur
Jusqu'au zénith de l'amour
En descandant par le froid du doute
Et l'absence de connexion

Quand la vie me pousse
Je sens le vide sous mes pieds
J'ai peur de tomber
Et de ne plus me relever

Des mots comme des coups de couteau
Existe-t-il quelque part
L'onguant qui me guérira
De mon spleen grandissant

Je vois la nuit arriver avec un soupir de soulagement
Le jour se levé et avec lui mes apréhension
Les secondes passé comme un hotage séquestré
et mon coeur pret a exploser

Si j'ai raison j'ai tord
Et avoir tord me donne raison
Spirale irréversible
Comment puis-je finir par me/la convaincre

jeudi, janvier 18, 2007

L'origine du Pheonix (1iere partie)

Et dans cette ensemble de feux
Ou se consume tout mes voeux,
Dans la noirceur de mes nuits
je pleurais sans bruit

Cette spirale qui tombais
infini et m'attirais
Toutes les couleurs du monde
Dans cette peinture immonde

Lorsque le ciel bleu rayonnais
Mes propres larmes me noyais
La rage qui fini par emporter la bataille
Et construire ce chateau sans faille

Mon passé
Si troublé
Qui masquait le bonheur
et la chaleur

Pendant que je prierais une fausse statue
Et que je regrettais ce qui m'avait plu
J'ai trouvé dans mes prières
La déesse que j'avais eu hier

Alors que je parlais de l'amour au passé
Jamais je n'aurais cru détenir la vérité
Mais dans ma quête sans fin
je n'avais pas vu ce que j'ai trouvé enfin

Toi, celle qui fut
Toi celle qui m'avait plu
Alors que j'en pleurais une autre
Et que le temps nous volais le notre

Dans un seul éclair
Mes regrets était clair
C'est bien toi qui me soutenait
Et une autre quête renait