Le soleil brillait doucement sur les rebords vieilli de bois vernie. Il semblait toujours brillé plus fort lorsque le froid était dehors si intense. La vitre givré de glace et la porte intérieur déviait les rayons du soleil en milles couleur, mais toujours ce sentiment d'être dans une salle aux trésors. La lumières rebondissant partout comme sur des pièces d'or. La richesse y est pourtant bien présente, mais pas sous la forme matériel. Les rayons reflète et brille parce que la chaleur empli cette maison de l'intérieur. Chez moi, l'amour et la tendresse est couleur or. Dans mes plus grandes peine le couloir un matin de janvier qui brille de mille feux m'arrachait quand même un sourire que je m'empressais toujours de cacher pour vivre ma peine intensément.
Je manquerai toujours cette intense chaleur et cette lumière du couloir de mon enfance, non pas parce qu'elle représente mon enfance, mais je quittes un lieu où l'amour est omniprésent. Comment pourrais-je ne jamais oublié cette image et toujours la regretté je me le demande.
Suffit de poursuivre je suppose.
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lundi, février 19, 2007
jeudi, janvier 18, 2007
L'origine du Pheonix (1iere partie)
Et dans cette ensemble de feux
Ou se consume tout mes voeux,
Dans la noirceur de mes nuits
je pleurais sans bruit
Cette spirale qui tombais
infini et m'attirais
Toutes les couleurs du monde
Dans cette peinture immonde
Lorsque le ciel bleu rayonnais
Mes propres larmes me noyais
La rage qui fini par emporter la bataille
Et construire ce chateau sans faille
Mon passé
Si troublé
Qui masquait le bonheur
et la chaleur
Pendant que je prierais une fausse statue
Et que je regrettais ce qui m'avait plu
J'ai trouvé dans mes prières
La déesse que j'avais eu hier
Alors que je parlais de l'amour au passé
Jamais je n'aurais cru détenir la vérité
Mais dans ma quête sans fin
je n'avais pas vu ce que j'ai trouvé enfin
Toi, celle qui fut
Toi celle qui m'avait plu
Alors que j'en pleurais une autre
Et que le temps nous volais le notre
Dans un seul éclair
Mes regrets était clair
C'est bien toi qui me soutenait
Et une autre quête renait
Ou se consume tout mes voeux,
Dans la noirceur de mes nuits
je pleurais sans bruit
Cette spirale qui tombais
infini et m'attirais
Toutes les couleurs du monde
Dans cette peinture immonde
Lorsque le ciel bleu rayonnais
Mes propres larmes me noyais
La rage qui fini par emporter la bataille
Et construire ce chateau sans faille
Mon passé
Si troublé
Qui masquait le bonheur
et la chaleur
Pendant que je prierais une fausse statue
Et que je regrettais ce qui m'avait plu
J'ai trouvé dans mes prières
La déesse que j'avais eu hier
Alors que je parlais de l'amour au passé
Jamais je n'aurais cru détenir la vérité
Mais dans ma quête sans fin
je n'avais pas vu ce que j'ai trouvé enfin
Toi, celle qui fut
Toi celle qui m'avait plu
Alors que j'en pleurais une autre
Et que le temps nous volais le notre
Dans un seul éclair
Mes regrets était clair
C'est bien toi qui me soutenait
Et une autre quête renait
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