je trempes ma plume
Dans l'encre de mon sang
Pour exprimé l'amertume
De ce temps corrompue
La larmes à l'oeil
J'éclate de rire
Pour dire tout mes espoirs
Pour cacher toutes mes douleurs
Alors que les lumières reignent
Que les couleurs éclatent comme jamais
Je sens la noirceur nous ensevelir
Et les silences pesants
Au milieu de tous
Plus seul que jamais
L'âme errante
Et le coeur en peine
Je me recceuil seul
Fait en secret mon deuil
Remet mon sourrire en place
Et retourne dans les artifices de ce temps.
mercredi, décembre 27, 2006
dimanche, novembre 26, 2006
resurection
And the desperation im in right now
Pale reflect of my old self
The spleen killing my soul again
For a short period i'll be dead
sorry I can't be there
sorry because its my time to die
And until I reborn
You are gonna be all alone
Pale reflect of my old self
The spleen killing my soul again
For a short period i'll be dead
sorry I can't be there
sorry because its my time to die
And until I reborn
You are gonna be all alone
mardi, novembre 21, 2006
bomb the past
for a moment
I wanted to go nuclear
Drop the bomb
On all those moments
Of hurt and anger
And in a final blow up
Kill the past
And all the bad
That indeed last.
I wanted to go nuclear
Drop the bomb
On all those moments
Of hurt and anger
And in a final blow up
Kill the past
And all the bad
That indeed last.
percute ses images noir
Rage noir qui monte en moi
J'ai la haine à la bouche
Lorsqu'on frappe à mes souches
J'enrage que l'on blesse ma fois
Le temps efface les cicatrices
Mais pas les causes
Ni toutes les questions que je me poses
Pourquoi suis-je seul a fixé le vice?!?
Les poings serré je frappe
Reclu sur dans ma propre arène
Pour ne pas montré ma haine
Pour me controlé quand je dérappe
Les nerfs tendu
La tête bouillante
comme si je m'étais battu
L'esprit encore brulante
D'ou me vient cette haine soudaine?
Ou dort-elle lorsque ma tête est saine
Suis-je vraiment cette douleur
suis-je vraiment de cette couleur?
Et pourtant j'avance a pas juste
Les dents serré
pour ne pas prononcé
Tout ses mots injustes
Mais l'injustice est si bonne
le goût de violence si ennivrant
J'explose de douleur pour être franc
Et je ne peux que pleuré ma lionne.
J'ai la haine à la bouche
Lorsqu'on frappe à mes souches
J'enrage que l'on blesse ma fois
Le temps efface les cicatrices
Mais pas les causes
Ni toutes les questions que je me poses
Pourquoi suis-je seul a fixé le vice?!?
Les poings serré je frappe
Reclu sur dans ma propre arène
Pour ne pas montré ma haine
Pour me controlé quand je dérappe
Les nerfs tendu
La tête bouillante
comme si je m'étais battu
L'esprit encore brulante
D'ou me vient cette haine soudaine?
Ou dort-elle lorsque ma tête est saine
Suis-je vraiment cette douleur
suis-je vraiment de cette couleur?
Et pourtant j'avance a pas juste
Les dents serré
pour ne pas prononcé
Tout ses mots injustes
Mais l'injustice est si bonne
le goût de violence si ennivrant
J'explose de douleur pour être franc
Et je ne peux que pleuré ma lionne.
jeudi, novembre 16, 2006
Masse
Je regarde ses gens qui passent sans s'arrêter
Qui volent vers des destinations déjà connu
Regardant en avant
Pour ne pas voir derrière
Ceux qui frappe
Ceux qui marche
Ceux qui cours
Et ceux qui s'effondre
Tous aussi indifférent les uns aux autres
Et dans un moment de folie
D'originalité incalculé
L'arme sort et crache la mort
Avant de réalisé sont inutilité
Des vies sont fauchés
Celles de gens qui auraient pu changé le monde
Celles de ceux qui auraient pu le détruire
Dans les gettho de Montréal
Le suicide est la plus grande drogue
La violence est mentale
Bien plus que physique
Et les races s'affrontent
Au lieux de s'unir
Les minorités visible qui protège ce statut
Des majorités minoritaire qui espère
Et le vraie surnombre qui ce laisse faire
Dormé masse d'insensible
Vous rêvé de vos voyages en Floride
Fuyé donc ce froid ou dehors les sans-abris meurt
Fuyé les stations de métro ou chaque jours le junkie pleure
Qui volent vers des destinations déjà connu
Regardant en avant
Pour ne pas voir derrière
Ceux qui frappe
Ceux qui marche
Ceux qui cours
Et ceux qui s'effondre
Tous aussi indifférent les uns aux autres
Et dans un moment de folie
D'originalité incalculé
L'arme sort et crache la mort
Avant de réalisé sont inutilité
Des vies sont fauchés
Celles de gens qui auraient pu changé le monde
Celles de ceux qui auraient pu le détruire
Dans les gettho de Montréal
Le suicide est la plus grande drogue
La violence est mentale
Bien plus que physique
Et les races s'affrontent
Au lieux de s'unir
Les minorités visible qui protège ce statut
Des majorités minoritaire qui espère
Et le vraie surnombre qui ce laisse faire
Dormé masse d'insensible
Vous rêvé de vos voyages en Floride
Fuyé donc ce froid ou dehors les sans-abris meurt
Fuyé les stations de métro ou chaque jours le junkie pleure
mercredi, novembre 15, 2006
Je suis un fossil
Je suis un fossil
Née dans une époque qui n'est pas la mienne
Dans des valeurs débiles
Mon âme est trop anciennes
Je me repend d'être l'homme d'une seule femme
De ne pas toléré les abus quelqu'ils soient
D'exécrer les complots qui se trament
Et de ne vouloir en fait que la loi
Je me confesse d'être contre la dévolution
Contre les idées de révolutions
Pour le retour à la rectitude morale
Et le respect de la parole orale
Dans notre monde ou la parole ne vaux plus rien
Je donne la mienne comme l'on signe un contrat
Dans ce monde où les peuples ont faim
Je ne tend point la mains.
J'aime les femmes, déteste les filles
Je prêche les yeux qui brillent
Condamne les pupilles vitrés
Les plaisirs articielles trop vite consommé
Je me donne sans compté
Ridiculise la polygamie
Qui a mon sens n'est que calomnie
D'une mode faite pour régressé
Et mon coeur qui n'est qu'à toi
Qui vie si bien cette époque
Moi je ne crois qu'à toi
Qui me guide et qui me moque.
Je t'aime Phoenix de mes rêves
Ta rennaissance comme une trêve
À mon mal de vivre
Tu me donne l'envi de survivre.
Née dans une époque qui n'est pas la mienne
Dans des valeurs débiles
Mon âme est trop anciennes
Je me repend d'être l'homme d'une seule femme
De ne pas toléré les abus quelqu'ils soient
D'exécrer les complots qui se trament
Et de ne vouloir en fait que la loi
Je me confesse d'être contre la dévolution
Contre les idées de révolutions
Pour le retour à la rectitude morale
Et le respect de la parole orale
Dans notre monde ou la parole ne vaux plus rien
Je donne la mienne comme l'on signe un contrat
Dans ce monde où les peuples ont faim
Je ne tend point la mains.
J'aime les femmes, déteste les filles
Je prêche les yeux qui brillent
Condamne les pupilles vitrés
Les plaisirs articielles trop vite consommé
Je me donne sans compté
Ridiculise la polygamie
Qui a mon sens n'est que calomnie
D'une mode faite pour régressé
Et mon coeur qui n'est qu'à toi
Qui vie si bien cette époque
Moi je ne crois qu'à toi
Qui me guide et qui me moque.
Je t'aime Phoenix de mes rêves
Ta rennaissance comme une trêve
À mon mal de vivre
Tu me donne l'envi de survivre.
mercredi, octobre 25, 2006
Cataplasme
Cataplasme de douceur
Sur mes anciennes douleurs
Les bras en croix
J'acceuille; de nouveau je crois
Le bien de mes désirs
L'amour de ce sourrire
Et ce caractère
Qui me garde sur terre
Le ciel étoilé
Dans tes yeux étonné
Et je te prend la main
Jusqu'au lendemain matin
Dans mes yeux ébahi
Tu plonges et voit mes envies
Tes mots qui furent si doux
Quand si froid était mon tout
Ta vie et mon coeur
Que je veux liés dans la chaleur
Et que passe le temps et ses heures
Nous les remplirons de roses de bonheur
Sur mes anciennes douleurs
Les bras en croix
J'acceuille; de nouveau je crois
Le bien de mes désirs
L'amour de ce sourrire
Et ce caractère
Qui me garde sur terre
Le ciel étoilé
Dans tes yeux étonné
Et je te prend la main
Jusqu'au lendemain matin
Dans mes yeux ébahi
Tu plonges et voit mes envies
Tes mots qui furent si doux
Quand si froid était mon tout
Ta vie et mon coeur
Que je veux liés dans la chaleur
Et que passe le temps et ses heures
Nous les remplirons de roses de bonheur
mardi, octobre 24, 2006
A chase
And those demons of the past
That I chase around
With this new weapon you gave me
And I strike fast
Beat them to the ground
And make sure there's nothing left to see
After the combat, its me who's gonna last
My voice thats gonna sound
So that ''we'' gonna be
That I chase around
With this new weapon you gave me
And I strike fast
Beat them to the ground
And make sure there's nothing left to see
After the combat, its me who's gonna last
My voice thats gonna sound
So that ''we'' gonna be
samedi, octobre 14, 2006
voyage du phoenix
Je suis partie de l'autre coté de l'océan
Les ailes d'acier m'emportant
Vers ce pays de mes ancêtres
Où je croyais renaître
Ce que j'étais partie chercher
Je n'ai pas trouver
Et ce fut là ou je ne l'attendais pas
Que l'aventure ce présenta
Alors que je regardais les monuments
Je fus distrait par tes mouvements
Et soudain même les cathédrales
Devenaient banales
J'ai trouvé dans un autre pays
La certitude de l'amour de ma vie
Dans tes yeux pétillants
Et tes cheveux flamboyant
Et mon coeur embalé
D'enfin avoir trouvé
A retrouvé sa passion
Et sa raison
Je suis partie a l'étranger
Et c'est toi que j'ai trouvé
Plus belle qu'à mon départ
Plus amoureux qu'au premier regard
Les ailes d'acier m'emportant
Vers ce pays de mes ancêtres
Où je croyais renaître
Ce que j'étais partie chercher
Je n'ai pas trouver
Et ce fut là ou je ne l'attendais pas
Que l'aventure ce présenta
Alors que je regardais les monuments
Je fus distrait par tes mouvements
Et soudain même les cathédrales
Devenaient banales
J'ai trouvé dans un autre pays
La certitude de l'amour de ma vie
Dans tes yeux pétillants
Et tes cheveux flamboyant
Et mon coeur embalé
D'enfin avoir trouvé
A retrouvé sa passion
Et sa raison
Je suis partie a l'étranger
Et c'est toi que j'ai trouvé
Plus belle qu'à mon départ
Plus amoureux qu'au premier regard
jeudi, septembre 28, 2006
toujours mon pheonix
Ma tête explose d'émotions que je ne controle plus depuis longtemps
Ma poitrine qui se soulève péniblement sous le poids de ta joie
La bouche gorgé de tes baisées sucrées
Et la peau lustré de tes caresses soyeuses
Les mots qui défilents
Pâle reflet de ma pensée
Je n'arrive plus a m'exprimé
Gelé par le torrent de notre amour
Je voudrais te demander ta main a tout les jours
Pour que toujours je sois convaincu de ton amour
Et que tu sois quotidiennement nouvellement mienne
Et moi nouvellement tien
Ma poitrine qui se soulève péniblement sous le poids de ta joie
La bouche gorgé de tes baisées sucrées
Et la peau lustré de tes caresses soyeuses
Les mots qui défilents
Pâle reflet de ma pensée
Je n'arrive plus a m'exprimé
Gelé par le torrent de notre amour
Je voudrais te demander ta main a tout les jours
Pour que toujours je sois convaincu de ton amour
Et que tu sois quotidiennement nouvellement mienne
Et moi nouvellement tien
lundi, septembre 25, 2006
ouch!
Le regard qui fuit
Et tes yeux qui s'éloignent laissant le froid glacial
Comme deux poignards
Douleur que je n'ai pas ressenti depuis trop longtemps
Après ton départ précipité
J'ai mal
le coeur qui se fend
Tout mon âme ne comprend plus
J'ai peur
Je tremble
Confus devant un sentiment que je ne connais plus.
J'ai mal je me tue... je pleur?!?!
Il y a si longtemps que je ne me suis pas senti atteint
Atteint autant et aussi sensible
Et je pleures encore
J'ai mal encore...
Les heures passe tout comme les goutes qui déferlent sur mes joues
Meurtries par ce sentiment ancien qui revient
J'ai envi de m'ennivré pour oublié?
Que ce passe-t-il?
Les défences sont basses je ne penses plus
J'ai peur
J'ai froid
Et tu réquisitionne le silence...
...
...
...
...
Je ne suis pas capable j'ai le coeur a l'envers
Le silence dans la bouche
Le sourrire a l'autre bout du monde
Et les yeux remplis d'eaux
Journée de merde
soirée de merde
Mes heures sont des calvaires
Dans l'attente d'explication
silence;
je me rend
à toi!
...
Et tes yeux qui s'éloignent laissant le froid glacial
Comme deux poignards
Douleur que je n'ai pas ressenti depuis trop longtemps
Après ton départ précipité
J'ai mal
le coeur qui se fend
Tout mon âme ne comprend plus
J'ai peur
Je tremble
Confus devant un sentiment que je ne connais plus.
J'ai mal je me tue... je pleur?!?!
Il y a si longtemps que je ne me suis pas senti atteint
Atteint autant et aussi sensible
Et je pleures encore
J'ai mal encore...
Les heures passe tout comme les goutes qui déferlent sur mes joues
Meurtries par ce sentiment ancien qui revient
J'ai envi de m'ennivré pour oublié?
Que ce passe-t-il?
Les défences sont basses je ne penses plus
J'ai peur
J'ai froid
Et tu réquisitionne le silence...
...
...
...
...
Je ne suis pas capable j'ai le coeur a l'envers
Le silence dans la bouche
Le sourrire a l'autre bout du monde
Et les yeux remplis d'eaux
Journée de merde
soirée de merde
Mes heures sont des calvaires
Dans l'attente d'explication
silence;
je me rend
à toi!
...
mercredi, septembre 13, 2006
Inspiré de Dawson
Aujourd'hui fut une journée de panique à Montréal. Une fusillade dans un CEGEP anglophone (Dawson) L'air avais un parfum de panique et le centre-ville a perdu de son magnifique beat européen pour un rythme plus New-Yorkais, les sirènes partout et le bruit constant signe que l'événement est arrivé.
Même si je n'y suis pas je sens quand même un sentiment de stress énorme m'envahir. Je crois que c'est comme ceci qu'on se rend compte si on est lié à un endroit ou non. Dans mon cas j'ai toujours su que Montréal était ma ville et que c'était l'endroit ou mon âme était.
En même temps les émotions sont mixtes. Je suis désolé pour ceux que sa affecte, mais en même temps, je l'avou, je me dit que ce geste est typique de ma génération et de celles qui vont nous suivre. Mesdames et messieurs bienvenu dans le siècle de la violence de masse!
Même si je n'y suis pas je sens quand même un sentiment de stress énorme m'envahir. Je crois que c'est comme ceci qu'on se rend compte si on est lié à un endroit ou non. Dans mon cas j'ai toujours su que Montréal était ma ville et que c'était l'endroit ou mon âme était.
En même temps les émotions sont mixtes. Je suis désolé pour ceux que sa affecte, mais en même temps, je l'avou, je me dit que ce geste est typique de ma génération et de celles qui vont nous suivre. Mesdames et messieurs bienvenu dans le siècle de la violence de masse!
vendredi, septembre 08, 2006
L,effet du phoenix
Les nuits de paix enfin
Quand tu me serres sans fins
J'ai l'espris en repos
Bercé par l'odeur de ta peau
Ton sourrire si précieux
Sur mes idées noirs
Et tout à coup tout va mieux
Et je n'ai plus peur du soir
Et aux abords
de ta mains bagués
Prend la mienne fiancé
La tête vide je dors
Quand tu me serres sans fins
J'ai l'espris en repos
Bercé par l'odeur de ta peau
Ton sourrire si précieux
Sur mes idées noirs
Et tout à coup tout va mieux
Et je n'ai plus peur du soir
Et aux abords
de ta mains bagués
Prend la mienne fiancé
La tête vide je dors
lundi, juillet 31, 2006
joyeux spleen
Le secondes passe dans le néant
D'un monde de préjugés et de violence
La guerre est une macine économique
Qui protège ceux qui possède le papiers vert
Tous autant que nous sommes
Esclave de cette productivité
Dans les grandes tour vitrées
Les patrons regarde d'un air amusé
Ce qui est la vie aujourd'hui
N'est en fait qu'une recherche constante
D'escapade de l'esprit
Pour les journées qui nous mentent
Les heures meurt
Comme les enfants
Et leurs parents
Dans d'attroce douleur
Et tous regarde vers le haut
Ignorant le bas de la pyramide
Ou les genres meurt pour supporté
Celui au dessus bien perché
Et la gauche qui se croit
Et la droite qui décroit
L'anarchie irréaliste
Et personne pour aidé
Je hais la gauche qui ne fait rien que parlé
Que faire saigné
Ou que théorisé
Dans les pensées les plus nobles
Je hais la droite qui ne s'assume pas
Qui ne fait que compté
Que rationalisé
Dans les pensées les plus logiques
Je hais l'anarchie qui ne peut être
Qui ne fait que détruire
Qui ne fait que idéalisé
Dans les pensées les plus irréaliste
Brulé les anarchiste sur un bucher de douceur
Embrassé les droitistes dans leur froideur
Fusillé les gauchistes d'amitié réel
Aucun combat ne vaut l'oubli.
D'un monde de préjugés et de violence
La guerre est une macine économique
Qui protège ceux qui possède le papiers vert
Tous autant que nous sommes
Esclave de cette productivité
Dans les grandes tour vitrées
Les patrons regarde d'un air amusé
Ce qui est la vie aujourd'hui
N'est en fait qu'une recherche constante
D'escapade de l'esprit
Pour les journées qui nous mentent
Les heures meurt
Comme les enfants
Et leurs parents
Dans d'attroce douleur
Et tous regarde vers le haut
Ignorant le bas de la pyramide
Ou les genres meurt pour supporté
Celui au dessus bien perché
Et la gauche qui se croit
Et la droite qui décroit
L'anarchie irréaliste
Et personne pour aidé
Je hais la gauche qui ne fait rien que parlé
Que faire saigné
Ou que théorisé
Dans les pensées les plus nobles
Je hais la droite qui ne s'assume pas
Qui ne fait que compté
Que rationalisé
Dans les pensées les plus logiques
Je hais l'anarchie qui ne peut être
Qui ne fait que détruire
Qui ne fait que idéalisé
Dans les pensées les plus irréaliste
Brulé les anarchiste sur un bucher de douceur
Embrassé les droitistes dans leur froideur
Fusillé les gauchistes d'amitié réel
Aucun combat ne vaut l'oubli.
mercredi, juillet 26, 2006
ride with the phoenix
From this past
The resuraction came
And from the ashes
Came a phoenix
The light
Floaded the darkness
The fire
Melted the ice
And from those arm
That are now my country
And from those eyes
That are now my nationality
I will fly away
From hell
to heaven
with no regrets.
The resuraction came
And from the ashes
Came a phoenix
The light
Floaded the darkness
The fire
Melted the ice
And from those arm
That are now my country
And from those eyes
That are now my nationality
I will fly away
From hell
to heaven
with no regrets.
samedi, juillet 08, 2006
phoenix...
L'eau s'éapore sur le béton gris
La tempête qui vient de passé
Laisse un parfum poivré
Où se mêle les arômes de pluies
Les gouttes ont émigrés
Vers mes yeux voilé
Remplis de regret et d'absence
En manque de ton essence
La tempête qui vient de passé
Laisse un parfum poivré
Où se mêle les arômes de pluies
Les gouttes ont émigrés
Vers mes yeux voilé
Remplis de regret et d'absence
En manque de ton essence
lundi, juillet 03, 2006
oiseau de rêve
L'oiseau prend son envole
Dans la pénombre quitte le sol
Vers les horizons de feux
Migration pour le mieux
La liberté au bout des ailes
Là où l'air est pleine de sel
L'eau d'un bleu profond
Comme un aimant tirant vers le fond
Et dans ce voyage sublime
De jouissance ultime
L'oiseau tombe une dernière fois
Pour avoir renier sa fois
Le beau voyage n'est plus
Les idéaux ce sont tues
Et coule vers la noirceur
S'y dépose à jamais en douceur
Dans la pénombre quitte le sol
Vers les horizons de feux
Migration pour le mieux
La liberté au bout des ailes
Là où l'air est pleine de sel
L'eau d'un bleu profond
Comme un aimant tirant vers le fond
Et dans ce voyage sublime
De jouissance ultime
L'oiseau tombe une dernière fois
Pour avoir renier sa fois
Le beau voyage n'est plus
Les idéaux ce sont tues
Et coule vers la noirceur
S'y dépose à jamais en douceur
vendredi, juin 30, 2006
Phoenix...
Alors que mes yeux
Fixé sur le feux
Jette un dernier regard
Avant de laissé place au noir
Les tisons mourrant
Tout a coup vivant
Et je vois la lumière
Comme un astre fier.
Et des cendres sombre
Le soleil éclipse les ombres
Et du torrent des rayons
Les ailes brulante de papillon
Oh toi phoenix.
Fixé sur le feux
Jette un dernier regard
Avant de laissé place au noir
Les tisons mourrant
Tout a coup vivant
Et je vois la lumière
Comme un astre fier.
Et des cendres sombre
Le soleil éclipse les ombres
Et du torrent des rayons
Les ailes brulante de papillon
Oh toi phoenix.
dimanche, juin 11, 2006
Farewell
Why all this hate
Im building towards you,
When deep down
I only hate myself
Why do I say you died
A long time ago
When long before
You killed me?
And if im dead,
Why those feelings
Where do they come from
Is it the last gasp of air
And you moved on
I watched you with pain
But pride really
Of what you became
And left behinf
My heart got broken
I left the pieces in your eyes
For without them, they are no use
Live well like you diserve
And once in a while
Drop a flower on my tomb
I'll smile back in my motiionless sleep.
Im building towards you,
When deep down
I only hate myself
Why do I say you died
A long time ago
When long before
You killed me?
And if im dead,
Why those feelings
Where do they come from
Is it the last gasp of air
And you moved on
I watched you with pain
But pride really
Of what you became
And left behinf
My heart got broken
I left the pieces in your eyes
For without them, they are no use
Live well like you diserve
And once in a while
Drop a flower on my tomb
I'll smile back in my motiionless sleep.
lundi, mai 29, 2006
jeudi, mai 25, 2006
la rose de la vie
La vie comme une rose
Chaque pétale une merveilleuse certitude
Très vite elle se fanne
Jusqu'à ce qu'il n'en reste une
La tige
C'est la mort
Chaque pétale une merveilleuse certitude
Très vite elle se fanne
Jusqu'à ce qu'il n'en reste une
La tige
C'est la mort
mercredi, mai 24, 2006
lundi, mai 22, 2006
Envelopante ténèbre
Oh mémoire mémoire!
Mémoire d'un temps perdu
Temps qui n'est plus
Que tard le soir
L'oublie sélective
Pour moi une belle promesse
Encore le mal de tes adresses
Cette douleur vive
Dans le brouillard humide
Mes yeux s'ouvre
Aussitôt je les couvre
Pour ne pas faire face au vide
Les avions pleins la tête
Le ciel se teinte d'une tel couleur
Qu'on dirait des pleurs
Fiction passé; ARRÊTE!
Mon costume funèbre
Je le porte encore
Toujours le premier tissu sur mon corp
Envelopante ténèbre
Mémoire d'un temps perdu
Temps qui n'est plus
Que tard le soir
L'oublie sélective
Pour moi une belle promesse
Encore le mal de tes adresses
Cette douleur vive
Dans le brouillard humide
Mes yeux s'ouvre
Aussitôt je les couvre
Pour ne pas faire face au vide
Les avions pleins la tête
Le ciel se teinte d'une tel couleur
Qu'on dirait des pleurs
Fiction passé; ARRÊTE!
Mon costume funèbre
Je le porte encore
Toujours le premier tissu sur mon corp
Envelopante ténèbre
mercredi, mai 17, 2006
La tour brune
Dans le ciel gris
Ce dresse au loin une tour brune
Et de cette tour proviennent les cris
Cris silencieux comme enfermé dans une urne
La misère frappe en martèlement sourd de douleur
Ici elle prend toutes les couleurs
Dans le ghetto que nous avons construit
Ici les rêves ne sont pas permis
Et a chaque envol de douceur
Il réponde de leur pleur
Même la bonté ici na plus d'espoir
Enterré par ceux qui ont cessé de croire
Dommage
Quel gaspillage.
Ce dresse au loin une tour brune
Et de cette tour proviennent les cris
Cris silencieux comme enfermé dans une urne
La misère frappe en martèlement sourd de douleur
Ici elle prend toutes les couleurs
Dans le ghetto que nous avons construit
Ici les rêves ne sont pas permis
Et a chaque envol de douceur
Il réponde de leur pleur
Même la bonté ici na plus d'espoir
Enterré par ceux qui ont cessé de croire
Dommage
Quel gaspillage.
mardi, avril 25, 2006
Ce soir...
Première larmes qui coulent réellement
Que je retiens depuis trop longtemps
De vraies goute salé
Auxquelles je peux gouté
Et je pleur une peine intense
Ce que j'ai en moi de souffrance
Et le flot ne semble pas s'arrêté
Ce soir j'ai pleuré.
Que je retiens depuis trop longtemps
De vraies goute salé
Auxquelles je peux gouté
Et je pleur une peine intense
Ce que j'ai en moi de souffrance
Et le flot ne semble pas s'arrêté
Ce soir j'ai pleuré.
lundi, avril 24, 2006
engourdi
Encore seul
Devant le noir de ma chambre
Les soleils ne brillent plus
Et dans la pénombre je rêve que je me tu
Il n'y a pas de douceur dans mon coeur
Que les larmes silencieuses de l'âme
La vie inutile dans les moments de détresse
ne permet pas la détente
L'impression de manipuler ceux que je veux
De détruire ce que je ne veux pas
Et de ne pas être a la hauteur de moi meme
Dans un image fictive sans appui
Je plonge tête première
Dans un océan de solitude
Ou le vertige des profondeur m'habite
Et me hante dans la souffrance temporaire
Et dans les silences que je ne veux pas
Dans le noir sans chaleur
Le froid reprend controle
En plein milieu de l'été
mes membres gelé
Qui ne se dégourdissent plus
et mon temps ici m'est pénible
Et j'avance pourtant mais seul!
Devant le noir de ma chambre
Les soleils ne brillent plus
Et dans la pénombre je rêve que je me tu
Il n'y a pas de douceur dans mon coeur
Que les larmes silencieuses de l'âme
La vie inutile dans les moments de détresse
ne permet pas la détente
L'impression de manipuler ceux que je veux
De détruire ce que je ne veux pas
Et de ne pas être a la hauteur de moi meme
Dans un image fictive sans appui
Je plonge tête première
Dans un océan de solitude
Ou le vertige des profondeur m'habite
Et me hante dans la souffrance temporaire
Et dans les silences que je ne veux pas
Dans le noir sans chaleur
Le froid reprend controle
En plein milieu de l'été
mes membres gelé
Qui ne se dégourdissent plus
et mon temps ici m'est pénible
Et j'avance pourtant mais seul!
vendredi, avril 14, 2006
Le château
Le Chateau que je suis
Celui ou tous ce réfugie
Je ne suis qu'un abris
Tant que je suis droit et fort
Personne ne sort
Mais la moindre faiblesse a mon corp?
La solitude de mes murs qui résonne
Car à la moindre faiblesse que je donne
La cloche de la retraite sonne
Et vers qui s'appui le chateau ?
Qui portera avec moi le drapeau?
Ou pire, qui me portera comme fardeau?
Alors que je portes tous et toutes
Soudain me vient le plus grand doutes
Qui m'aidera moi sur ma route?
Mon architecte que je n'ai pas trouvé
Celle là seule qui ne pourra m'abandonné
Parcequ'elle m'aura tout donné
Et puisque je lui devrai tout
Jamais elle ne recevra de coup
Et l'un pour l'autre l'unique bijou
Mais en attendant
Seul face a l'assaillant
Je sombre tranquillement
Celui ou tous ce réfugie
Je ne suis qu'un abris
Tant que je suis droit et fort
Personne ne sort
Mais la moindre faiblesse a mon corp?
La solitude de mes murs qui résonne
Car à la moindre faiblesse que je donne
La cloche de la retraite sonne
Et vers qui s'appui le chateau ?
Qui portera avec moi le drapeau?
Ou pire, qui me portera comme fardeau?
Alors que je portes tous et toutes
Soudain me vient le plus grand doutes
Qui m'aidera moi sur ma route?
Mon architecte que je n'ai pas trouvé
Celle là seule qui ne pourra m'abandonné
Parcequ'elle m'aura tout donné
Et puisque je lui devrai tout
Jamais elle ne recevra de coup
Et l'un pour l'autre l'unique bijou
Mais en attendant
Seul face a l'assaillant
Je sombre tranquillement
mercredi, avril 05, 2006
those nights,,,
so hello there
little angel of my dream
with those lips like cream
you kill all my nightmare
after all this time
finally like a ghost
sending me those kiss you post
and it almost feel like summertime
those nights...
little angel of my dream
with those lips like cream
you kill all my nightmare
after all this time
finally like a ghost
sending me those kiss you post
and it almost feel like summertime
those nights...
le bonheur en vacance.
Et après les nuits de rêves
après les journées de désir
Et les heures de plaisirs
Déjà arrive la trêve
Et le bonheur part en vacances
Dans le tourbillons qui suit
Toujours épris d'insomnie
Le spectre de l'été danse
...
après les journées de désir
Et les heures de plaisirs
Déjà arrive la trêve
Et le bonheur part en vacances
Dans le tourbillons qui suit
Toujours épris d'insomnie
Le spectre de l'été danse
...
dimanche, avril 02, 2006
second and time pass
no more inspiration?
Is this the beginning
Or the ending
where has gone my passion?
Time and time, harder and harder
with every second that pass I feel downer
And that fresh breath that is suposed to exist
Really just close my fist
Each white stick another piece of anger
The balance is breaked down
In that crashing sound
No mather how it will get harder
and now I wanna go
and now I wanna go
why those lonely nights?
Are so useless of a fight.
Is this the beginning
Or the ending
where has gone my passion?
Time and time, harder and harder
with every second that pass I feel downer
And that fresh breath that is suposed to exist
Really just close my fist
Each white stick another piece of anger
The balance is breaked down
In that crashing sound
No mather how it will get harder
and now I wanna go
and now I wanna go
why those lonely nights?
Are so useless of a fight.
vendredi, mars 24, 2006
Me censurer?
Tout à coup ce que je croyais être un refuge libre et anonyme est devenue une espèce de prison de vitre ou je suis observer et ciblé. J'ai commencé a me censuré aujourd'hui... journée de deuil pour moi. J'y trouverai peu être une solution.
mercredi, mars 22, 2006
chercher la solution
Chaque éclaire de réflexion
Autant de spasme douloureu
Trouble toutes visions
Souffle dangeureusement le feu
Doutes et paroles
Que de flèches perdues
Qui dans leurs courses folles
Nous tues
Fouler le sol inconnu de l'impossible
Dans l'anxiété de la destruction
Chacun pour l'autre devient cible
Et nos pensées cherche la solution
Autant de spasme douloureu
Trouble toutes visions
Souffle dangeureusement le feu
Doutes et paroles
Que de flèches perdues
Qui dans leurs courses folles
Nous tues
Fouler le sol inconnu de l'impossible
Dans l'anxiété de la destruction
Chacun pour l'autre devient cible
Et nos pensées cherche la solution
lundi, mars 20, 2006
samedi, mars 18, 2006
Définition de l'anarchie
L'anarchie est la solution des faibles incapable de vivre dans le système actuelle et trop paresseux pour le changer! Une utopie sans effort et sans combat voilà!
jeudi, mars 16, 2006
diminish
Diminish
Why always diminish
The good
And the bad
Everything is just less
The flow of passion
Transform to normality
All those attentions
Are just ordinary
And when its an addiction
Suddenly its not that bad
Always putting reason
Before emotion
And that flame
Used to be a volcano
Soon to be a matches
Instant and useless
Why always diminish
The good
And the bad
Everything is just less
The flow of passion
Transform to normality
All those attentions
Are just ordinary
And when its an addiction
Suddenly its not that bad
Always putting reason
Before emotion
And that flame
Used to be a volcano
Soon to be a matches
Instant and useless
mercredi, mars 15, 2006
Montréal
Dans les couleurs de l'été naissant
Je perd les raretés de l'hiver
Et pendant que la mort elle même meurt
Que tout est nouveau née
L'étrange engourdissement disparait
La masse se réveil
Les sourrires ne sont plus aussi précieux
Et les couleurs partout
La ville se libère de son manteau de glasse
Laissant voir une peau grise et terne
Pendant que tous se réjouissent
Je pleur la mort de mon amante
Mon coeur qui se fige dans les résidus de glace
Jusqu'à la prochaine mort
Et toujours dans ce cycle de vie et de mort
Mes yeux attendent cette union
Ou les parrures tombe, le maquillage est effacé
Pour ne laissé que la pureté blanche de sa peau
Je perd les raretés de l'hiver
Et pendant que la mort elle même meurt
Que tout est nouveau née
L'étrange engourdissement disparait
La masse se réveil
Les sourrires ne sont plus aussi précieux
Et les couleurs partout
La ville se libère de son manteau de glasse
Laissant voir une peau grise et terne
Pendant que tous se réjouissent
Je pleur la mort de mon amante
Mon coeur qui se fige dans les résidus de glace
Jusqu'à la prochaine mort
Et toujours dans ce cycle de vie et de mort
Mes yeux attendent cette union
Ou les parrures tombe, le maquillage est effacé
Pour ne laissé que la pureté blanche de sa peau
mardi, mars 14, 2006
Monastère de la rose bleue
Je m'isolerai dans un mensonge de désir et d'utopie. Bloqué de tous, mais surtout de toutes je me construirai une vie dans ton regard ou je ne vois ni la fin ni le commencement. Dans cette retraite je me ferai moine du monastère que je construirai à ta gloire. Te sacreré déesse de mes prières et te ferai ma religion. Dans la retraite silencieuse que je m'imposerais, le seul livre sacré; tes yeux! Les seuls mots ceux de mon coeur pour toi!
Et comme toute religion tu aurais tes tords et tes vices et moi comme tout les grand prêtres je tâcherais de les justifier et les excuser par la grandeur du reste de ta gloire.
Et comme toute religion tu aurais tes tords et tes vices et moi comme tout les grand prêtres je tâcherais de les justifier et les excuser par la grandeur du reste de ta gloire.
dimanche, mars 12, 2006
peur
Les pleures bleues coulent
Impuissant dans leur chute
La fuite ou la bravade
Au bout du tunnel une lumière...
Aveuglé par les idéaux
L'âme pleure, elle déjà
Quand l'amour reigne
Mais que le temps rattrape
Brûlure de contact réel
La collision brutale
Mais nécessaire
Pour qu'un futur vive.
Impuissant dans leur chute
La fuite ou la bravade
Au bout du tunnel une lumière...
Aveuglé par les idéaux
L'âme pleure, elle déjà
Quand l'amour reigne
Mais que le temps rattrape
Brûlure de contact réel
La collision brutale
Mais nécessaire
Pour qu'un futur vive.
samedi, mars 11, 2006
l'impact d'un voeux sur le futur
L'air vicié
Serre mes poumons crispé
Dans une anxiété nouvelle
Mais en vérité l'est-elle?
Sensation que j'ai redouter
Déjà elle revient me hanter
Et le temps qui passe
Le changement nous enlace
Les promesses d'une perfection
Qui ne sera jamais que fiction
Dans nos rêves fou
Où nous étions que nous
Et je lis ce que tu étais
Et ce que tu voulais
J'y vois le voeux que j'aime
Et le futur que tu sèmes
Mais dans le présent
Ils sont absent
Seule le pale reflet
De ce que tu voulais?
Et la force qui me nourri
Peu a peu doit être tienne aussi
Et ta douceur qui me charme
Doit me faire jeté les armes...
Serre mes poumons crispé
Dans une anxiété nouvelle
Mais en vérité l'est-elle?
Sensation que j'ai redouter
Déjà elle revient me hanter
Et le temps qui passe
Le changement nous enlace
Les promesses d'une perfection
Qui ne sera jamais que fiction
Dans nos rêves fou
Où nous étions que nous
Et je lis ce que tu étais
Et ce que tu voulais
J'y vois le voeux que j'aime
Et le futur que tu sèmes
Mais dans le présent
Ils sont absent
Seule le pale reflet
De ce que tu voulais?
Et la force qui me nourri
Peu a peu doit être tienne aussi
Et ta douceur qui me charme
Doit me faire jeté les armes...
Le Prince: Nicolas Machiavel
Rare sont les ouvrages qui permettent à l'homme d'analyser le pouvoir dans une perspective de le prendre ou de le maintenir. Certe les ouvrages du peuples qui le critiques, le louange ou le condamne sont légions, mais combien de livre avez-vous lu est en fait une analyse de la méthode, de la manière et des qualités requise pour prendre le pouvoir?
Dans Le Prince, qui se veut en fait un cadeau pour un nouveau prince de l'époque de l'auteur, l'analyse est un véritable mode d'emplois. Des analyses raisonné et juste permettent au lecteur de se sentir littéralement au milieu d'un cour sur la gouvernance. Bien sur le livre est un peu daté, quinzième siècle, mais avec un peu d'imagination la remise en contexte est relativement aisé.
Malgré un texte extrêmement lourd, ce court texte est emplis de citation, de contexte historique et d'exemple savoureuse pour les amateurs autant d'histoire que de politique. Sans être un incontournable a mon sens, l'auteur est quand même un des rares a se jour a avoir risqué une analyse et un mode d'emplois du pouvoir. Le Prince est en fait une bonne analyse d'un auteur qui a consacré sa vie au sujet.
Plusieurs réflexions s'ensuivent à la lecture de se livre qui est a l'agenda de lecture, encore aujourd'hui, des plus grands chef d'État.
MACHIAVEL, Nicolas. Le Prince. Boréal Compact / Classique, no 63. Québec: Boréal, 1995, 126 p.
Dans Le Prince, qui se veut en fait un cadeau pour un nouveau prince de l'époque de l'auteur, l'analyse est un véritable mode d'emplois. Des analyses raisonné et juste permettent au lecteur de se sentir littéralement au milieu d'un cour sur la gouvernance. Bien sur le livre est un peu daté, quinzième siècle, mais avec un peu d'imagination la remise en contexte est relativement aisé.
Malgré un texte extrêmement lourd, ce court texte est emplis de citation, de contexte historique et d'exemple savoureuse pour les amateurs autant d'histoire que de politique. Sans être un incontournable a mon sens, l'auteur est quand même un des rares a se jour a avoir risqué une analyse et un mode d'emplois du pouvoir. Le Prince est en fait une bonne analyse d'un auteur qui a consacré sa vie au sujet.
Plusieurs réflexions s'ensuivent à la lecture de se livre qui est a l'agenda de lecture, encore aujourd'hui, des plus grands chef d'État.
MACHIAVEL, Nicolas. Le Prince. Boréal Compact / Classique, no 63. Québec: Boréal, 1995, 126 p.
vendredi, mars 10, 2006
... Collapse
And from this pale imitation
I try to find out peace
In my mind I can try to pretend
But indeed I need what I except
And high are my ambition
Higher is my will to make them happen
But with no bounderies or barrier
I will collapse in ashes
All weakness are forbidden
For I will tear people appart by them
Myself the poison to my own life,
Im fighting the goods and the bad
Selfish, arrogant and condescending
These are my fault
Like walls indestructible
For other to penetrate
Giver, lover, passionnate
Those too are faults to me
Weakness that are making me stronger
But so much more deadly.
Need the blood of my vein
To boil more
Contain the mix of all this that I am
Someone as to break me down before...
before I...
I try to find out peace
In my mind I can try to pretend
But indeed I need what I except
And high are my ambition
Higher is my will to make them happen
But with no bounderies or barrier
I will collapse in ashes
All weakness are forbidden
For I will tear people appart by them
Myself the poison to my own life,
Im fighting the goods and the bad
Selfish, arrogant and condescending
These are my fault
Like walls indestructible
For other to penetrate
Giver, lover, passionnate
Those too are faults to me
Weakness that are making me stronger
But so much more deadly.
Need the blood of my vein
To boil more
Contain the mix of all this that I am
Someone as to break me down before...
before I...
mercredi, mars 08, 2006
Trouve moi dans moi
Dans cette solitude familière je me retrouve
Mes valeurs et mes ambitions
Je regarde les blessures sur mes convictions
Et les injures sur mon image de louve
J'ai perdu en chemin la force de mes idéaux
Pourquoi? pour ne plus me battre?
Le chevalier en moi a perdu ses chevaux
Déjà il ne mérite plus son sacre
Me retrouver dans un voyage
Un très long pélerinage
D'ou je ne reviendrai probablement jamais
Comment ce que j'étais
Et mes sentiments trouble
Je vacille dans cette fable
Ou je suis ma propre quête
Et j'espère pour bientôt la fête
Mes valeurs et mes ambitions
Je regarde les blessures sur mes convictions
Et les injures sur mon image de louve
J'ai perdu en chemin la force de mes idéaux
Pourquoi? pour ne plus me battre?
Le chevalier en moi a perdu ses chevaux
Déjà il ne mérite plus son sacre
Me retrouver dans un voyage
Un très long pélerinage
D'ou je ne reviendrai probablement jamais
Comment ce que j'étais
Et mes sentiments trouble
Je vacille dans cette fable
Ou je suis ma propre quête
Et j'espère pour bientôt la fête
mardi, février 28, 2006
L'île verte
Sur une île verte ou me conduit mon songe d'une nuit, je marche! L'air salin remplis mes poumons et une douce odeur de menthe flotte aux alentours. Le vent caresse mon visage et se brise sur le manteau au colet relevé qui me garde au chaud. Les pas s'enfonce dans la rosée et le ciel est d'un bleu gris qui présage une pluie tiède et fine. J'attend au loin les rebonds de la mer qui se brise depuis des millénaires sur les flancs rocailleux des falaises. Loin de tout et de moi aussi, la tête enfin qui rapatrie le corps, la communion est grande et parfaite. Mes pas qui me guide puisque je ne vise rien, l'objectif est de ne pas arrêté et je laisse mes jambes choisirs le chemin. Et la rocaille qui jou sa mélodie sous mes bottes dérangeantes et qui déboule et me précède sur les petits chemin. La civilisation ne c'est pas propager jusqu'ici, elle n'a pas amené son fiel et la solitude prévaux. Douce communion avec moi-même et toujours le vent qui devient la douce compagne de cette union parfaite. Je regarde cette falaise terrible de hauteur du bout des pieds je m'avance pour voir où la mer meurt. Je m'assis, m'assoupis et ne me réveille plus!
lundi, février 27, 2006
M'effondre dans le trou
Et mon mal
Qui m'avale
Me coule dans la douleur
Ou je perd les heures
Ërte plus en fesant moin
Pour partir loin
De la critique
Et des guimiques
L'éloignement mentale
Vers un monde astral
Sans le matériel
Et toutes les belles
Vivre l'espérance
Au lieu d'espéré la vivance
Dans le milieu de tout
M'effondre dans le trou.
Qui m'avale
Me coule dans la douleur
Ou je perd les heures
Ërte plus en fesant moin
Pour partir loin
De la critique
Et des guimiques
L'éloignement mentale
Vers un monde astral
Sans le matériel
Et toutes les belles
Vivre l'espérance
Au lieu d'espéré la vivance
Dans le milieu de tout
M'effondre dans le trou.
samedi, février 25, 2006
Artificiel
Insensible au torent
Qui forme mon environnement
Dans le tourbillions ou je gis
Me surplombant; des visages gris
Des émotions calculé
comme des tir d'archer
Le paraître et le style
Comme une âcre bile
Et dans cette démarche
Je vois tout ce qui ce cache
Et dans leurs abus de raisons
Mes mots sont une trahison
La franchise est trop pur
La couche trop artificiel
Et dans leurs paradis de fiel
Ils jurent
Je survole un monde qui m'est indiférrent
Pour lequel je n'ai aucun sentiment
En moi se perd l'humanité
Pour un animal qui ne l'a pas mérité
Alors allé gagner vos trophés
Un clou d'or sur votre tombeau
Qui vous cloura dans le faux
Et nous délivera de votre pensés.
Qui forme mon environnement
Dans le tourbillions ou je gis
Me surplombant; des visages gris
Des émotions calculé
comme des tir d'archer
Le paraître et le style
Comme une âcre bile
Et dans cette démarche
Je vois tout ce qui ce cache
Et dans leurs abus de raisons
Mes mots sont une trahison
La franchise est trop pur
La couche trop artificiel
Et dans leurs paradis de fiel
Ils jurent
Je survole un monde qui m'est indiférrent
Pour lequel je n'ai aucun sentiment
En moi se perd l'humanité
Pour un animal qui ne l'a pas mérité
Alors allé gagner vos trophés
Un clou d'or sur votre tombeau
Qui vous cloura dans le faux
Et nous délivera de votre pensés.
mardi, février 21, 2006
Comme mon sang sur mon amour
Je voudrais que le temps s'arrête
Dans un moment d'extase totale
Qu'à jamais reigne l'instant présent
Que plus jamais la monotonie vienne
Et dans cette lassitude je me perds
Trop peux habitué aux rouages de la normalité
Je fuis ce que tu cherches
Parceque je cherche ce que tu fuis
Et dans cette valse Viennoise
Où nos têtes se perdent
Étourdient par trop de mouvement contraire
Nos pas reste une danse parfaite
Mon âme de loup
Violente une stabilité
Que je m'applique a faire mourrir
Et que tu t'appliques a faire vivre
Mes blessures de guerres qui refont surface
Meurtrie de douleur passé
Je ne sais que trop les conséquences de la défaite
Alors la victoire est obligatoire
Je rage mes coups
Pleure mes frappes
Les larmes coulant sur ma joue
Comme mon sang sur mon amour
Dans un moment d'extase totale
Qu'à jamais reigne l'instant présent
Que plus jamais la monotonie vienne
Et dans cette lassitude je me perds
Trop peux habitué aux rouages de la normalité
Je fuis ce que tu cherches
Parceque je cherche ce que tu fuis
Et dans cette valse Viennoise
Où nos têtes se perdent
Étourdient par trop de mouvement contraire
Nos pas reste une danse parfaite
Mon âme de loup
Violente une stabilité
Que je m'applique a faire mourrir
Et que tu t'appliques a faire vivre
Mes blessures de guerres qui refont surface
Meurtrie de douleur passé
Je ne sais que trop les conséquences de la défaite
Alors la victoire est obligatoire
Je rage mes coups
Pleure mes frappes
Les larmes coulant sur ma joue
Comme mon sang sur mon amour
lundi, février 20, 2006
torpeur
La flamme qui éblouis
Chache la noirceur
De mes pensées enfouis
Tranquillement surgissent de leurs torpeur
Ce moment de délice
N'est qu'un caprice
Me vôtre dans ta peau
Pour oublié le poids sur mon dos
Mes yeux qui me trahissent
Ils fuient le vice
Et la douleur toujours vive
De mon âme toujours naive
Chache la noirceur
De mes pensées enfouis
Tranquillement surgissent de leurs torpeur
Ce moment de délice
N'est qu'un caprice
Me vôtre dans ta peau
Pour oublié le poids sur mon dos
Mes yeux qui me trahissent
Ils fuient le vice
Et la douleur toujours vive
De mon âme toujours naive
samedi, février 18, 2006
.
fuck this
All of this
This bullshit I beleived
And now fuck it!
This sadness thats filling me again
Same old shit
I have enough
already too much of it
Single words of no meaning
These quicky conversation
Nothing mean anything
No sens and no emotion
Me, still eating it without a word
Still giving small hint
Kindly ignored
breathless and powerless
I drop my arms
Not trying to reach anything
anymore
Im hopeless.
.
All of this
This bullshit I beleived
And now fuck it!
This sadness thats filling me again
Same old shit
I have enough
already too much of it
Single words of no meaning
These quicky conversation
Nothing mean anything
No sens and no emotion
Me, still eating it without a word
Still giving small hint
Kindly ignored
breathless and powerless
I drop my arms
Not trying to reach anything
anymore
Im hopeless.
.
vendredi, février 17, 2006
L'épreuve de ma foie
Et ce tourbillon de solitude
qui continue de m'envahir
Finira par me trahir
Comme un étrange prélude
Dans ce noir qui me ré-envahi
Je cherche avec peine mon lit
Seul refuge de mon âme meurtri
C'est là que je me veux assoupi
Moi droit et fort
J'ai choisi mon sort
Mais en attendant
Meurt en moi l'amant
Et les oiseaux de fer m'apellent
M'invitant sur leurs ailes
A fuir pour la première fois
Et combattre le froid
La douleur plein la tête
fini les jours de fête
Et commence en ce moi
L'épreuve de ma foie
qui continue de m'envahir
Finira par me trahir
Comme un étrange prélude
Dans ce noir qui me ré-envahi
Je cherche avec peine mon lit
Seul refuge de mon âme meurtri
C'est là que je me veux assoupi
Moi droit et fort
J'ai choisi mon sort
Mais en attendant
Meurt en moi l'amant
Et les oiseaux de fer m'apellent
M'invitant sur leurs ailes
A fuir pour la première fois
Et combattre le froid
La douleur plein la tête
fini les jours de fête
Et commence en ce moi
L'épreuve de ma foie
jeudi, février 16, 2006
Vacille
La lueur en avale
Qui m'avale
Dans la noirceur sale
Et l'attente est infernale
Et le temps qui passera
Que je redoute déjà
Me conduit vers mon trépas
Je ne tombe pas
Vacille de mots trop rapide
De pensée trop crue pour être livide
Le sens qui devient liquide
Entre mes doigts je tiens le vide
Et lorsque vers la chaleur le soleil part
Dans la noirceur le froid m'accapard
Plus vif que le guépard
Moi je redoute ton départ
Qui m'avale
Dans la noirceur sale
Et l'attente est infernale
Et le temps qui passera
Que je redoute déjà
Me conduit vers mon trépas
Je ne tombe pas
Vacille de mots trop rapide
De pensée trop crue pour être livide
Le sens qui devient liquide
Entre mes doigts je tiens le vide
Et lorsque vers la chaleur le soleil part
Dans la noirceur le froid m'accapard
Plus vif que le guépard
Moi je redoute ton départ
mardi, février 14, 2006
spleen couleur vie
Je ne peux vivre de cette facon
A moitié satisfait
Soif constante du demain
Qui en fait n'est rien
Et cette brûlure de désir
Que je porte en moi
guide tout mes pas
Et m'éloigne de mon esprit
Dans un torrant d'expective
Je me sens sombré
Et mes mains moites
Se pétrifie de chaleur
Lorsque mon temps sera venu
Les regrets de ma droiture
Ou la satisfaction de ma force?
Je ne sais.
Mais le doute qui s'installe en moi
Peu être plus persistant qu'auparavent
Pousse ma tête dans toutes les directions
Et dans cette tempête je perd le nord
Spleen, spleen pourquoi reviens-tu me hanté
toi que je croyais avoir chassé
Tu reviens avec la couleur de la vie
Puisque j'ai tué celle de son vis-a-vis.
A moitié satisfait
Soif constante du demain
Qui en fait n'est rien
Et cette brûlure de désir
Que je porte en moi
guide tout mes pas
Et m'éloigne de mon esprit
Dans un torrant d'expective
Je me sens sombré
Et mes mains moites
Se pétrifie de chaleur
Lorsque mon temps sera venu
Les regrets de ma droiture
Ou la satisfaction de ma force?
Je ne sais.
Mais le doute qui s'installe en moi
Peu être plus persistant qu'auparavent
Pousse ma tête dans toutes les directions
Et dans cette tempête je perd le nord
Spleen, spleen pourquoi reviens-tu me hanté
toi que je croyais avoir chassé
Tu reviens avec la couleur de la vie
Puisque j'ai tué celle de son vis-a-vis.
jeudi, février 02, 2006
mercredi, février 01, 2006
regard sur les voyages
J'entends les ailes d'un oiseau de tôle dans ma tête
Les rugissement d'un cheval d'acier
Des bruits lointain de fêtes
Et de promesse de baiser
Et l'âme vagabonde
Mon esprit voyage
Les tentations la sonde
Et mon coeur devient volage
Pour l'instant le sommeil qui me sauve
Et le temps passe plus rapidement
Mais bientôt de mon alcôve
je partirai avec empressement
Les rugissement d'un cheval d'acier
Des bruits lointain de fêtes
Et de promesse de baiser
Et l'âme vagabonde
Mon esprit voyage
Les tentations la sonde
Et mon coeur devient volage
Pour l'instant le sommeil qui me sauve
Et le temps passe plus rapidement
Mais bientôt de mon alcôve
je partirai avec empressement
lundi, janvier 16, 2006
Blue Rose part. V
Where all that love is coming from? What I tought was first burn by another is proven to be just more intense and real than the previous time. How come you bring all that in me, how come you don't scare, bore, over or under do things with me. Multiple time i've been fooled by love and yet again you find a way to make me feel so real and so good. And if my love was a fire it would be the sun because no other flame is intense enough to express the feelings i got for you.
samedi, janvier 14, 2006
Photo Dangeureuse
Pour certains cette photo est un symbole de protection. Pour d'autre ceci est choquant, un militaire et des armes près des enfants. La réalité est cependant tout autre, ses enfants sont presqu'en age de porté leur propre armes dans ce contexte. La photo est prise en Afghanistan et ce qui ma particulièrement troublé est l'inscoucience de ce soldat. Le danger ne vient pas de lui mais de ce qu'il représente. Ce soldat est une cible! Pourtant supposé protéger ses enfants, il l'est met en périle par sa seul présence.
jeudi, janvier 12, 2006
Belle nuit
Les pleures du passé me semble si lointaine. Les nuits debout a gouter la mort avec chaque éclat de métal dans le noir si inutile. Maintenant que les draperies embaume les friandises et que leur contact est un satin doux et parfait. Je m'endors au bord de la mer tout les soirs et me réveille dans les plaines et vallons d'une Alsace printanière aux arômes de fleurs sauvages. Dans l'attente de mon réveil, je vol dans un ciel de perfection et de pensée que je ne croirais jamais si ce n'était que lorsque de la pénombre mon esprit s'extirpe, le ciel est toujours présent.
lundi, janvier 02, 2006
prep
Dream of hate were I was slicing ur throat
In a gasping swallowing
That misery of choice you put together was ending
And no more of ur stupid growth
Hit and punch, that violence thats filling up my lung
Screaming and spitting on the atrocity you've become
And when you say that now your more fun
I puke and see the face of all those you gave some
No hate in these words
Just the end of your fake life
For the sake of the one who'll take you for wife
I'll use on you gladly and in piece that sword
In a gasping swallowing
That misery of choice you put together was ending
And no more of ur stupid growth
Hit and punch, that violence thats filling up my lung
Screaming and spitting on the atrocity you've become
And when you say that now your more fun
I puke and see the face of all those you gave some
No hate in these words
Just the end of your fake life
For the sake of the one who'll take you for wife
I'll use on you gladly and in piece that sword
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