Dans les couleurs de l'été naissant
Je perd les raretés de l'hiver
Et pendant que la mort elle même meurt
Que tout est nouveau née
L'étrange engourdissement disparait
La masse se réveil
Les sourrires ne sont plus aussi précieux
Et les couleurs partout
La ville se libère de son manteau de glasse
Laissant voir une peau grise et terne
Pendant que tous se réjouissent
Je pleur la mort de mon amante
Mon coeur qui se fige dans les résidus de glace
Jusqu'à la prochaine mort
Et toujours dans ce cycle de vie et de mort
Mes yeux attendent cette union
Ou les parrures tombe, le maquillage est effacé
Pour ne laissé que la pureté blanche de sa peau
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