Ce silence que m'impose le temps
Du a une trop grande intimité peu être
Le visage du ''et si'' qui pourtant ne changera pas
Pourtant restera bien le tient
Et ce que tu veux être
De ce que tu ne veux pas
Me laissant dans le vide d'être trop honnête
Me laissant dans mon propre silence
Et si je mentais pour ne pas fuir
Si je disais faux, pour vivre vrai
Serais-je alors oui ou non
Ou encore vers qui serait la vérité
Confusion d'une intimité
Confession d'un rêve que je ne controle pas
Et pourtant dans ce froid qui me glace
Je sens t'avoir appeuré
Coincé au pied de deux vérité
J'ai avoué une partie de mes maux
Si pourtant j'aurais pu te le cacher
Si pourtant je pouvais me rationalisé
Mais la raison n'y est pour rien
Le souvenir d'une peau jamais touché
Le velour de ce satin qui me trouble
Et la distance qui n'y est, elle, pour rien
Silence...
Elle ce retourne...
Silence...
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