La lumiere et le temps ne sont que superflu
Je te voudrais aupres de moi hier
Pour vraincre le cafard et répondre a mes prières
Ton églises a laquelle je suis proscrit
Mais ton culte vers lequel encore je pris
Idole de mes nuits et de mes silences
Espoirs de mes pjours dans ton absences
Le temps qui ne nous presse jamais
Repoussant sans cesse le vrai
Je crois en toi plus qu'hier encore
Et pour nous deux je tiendrai le fort
Et de mon amour impossible
Emane tout ces mots qui te cible
Je te rêve sans cesse
Et ce foutu temps qui jamais ne nous presse
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