Dans les pénombres la toile m'ennivre et me porte
Je sens les éclats de lumiere me réchauffant
Et dans un tempo lent, l'obscurité disparait
Deuxieme temps, a force de regarder
Je finis par ne plus voir et me concentre sur le brillant
Et pendant que les éclats diminue
Je ne vois plus les ténèbres qui m'enveloppe
Troisieme temps, je me retourne
Il n'y a plus de clarté dans cette peinture
Ce qui me réconfortait n'y est plus
Je sens le froid reprendre ses droits
Dernier temps, je vois que je n'ai rien vue
Les douceurs de l'oeuvre me brule la peau
Chaque regard fait mal à l'âme
Cette toile si belle, maintenant mon chatiment.
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