Il y a de ces nuits
Où l'on voudrait que le soleil ne se lève pas
Que la lune prévail jusqu'à la fin des temps
Et que la fatigue ne se présente jamais
Les mots qui partent en volés
Comme une rafale d'honnêteté
La tête comblé
Et je ne sais plus quoi dire
Dans les rires
Le sourire en coin
Parle plus
Que la tyrade précédente
Ma tête s'envole au loin
Dans un futur qui ne sera pas
Mais que je voudrais
Au moins autant que le présent
Force est d'admettre quelques fois...
1 commentaire:
Il y a de c'est nuit où l'on ce donne le droit de retirer cette armure qui nous protège des autres, mais qui pèse tend sur nos épaules. Alors pour une nouvelle fois, depuis des lustres nous pouvons sentir la brise sur notre corps et la légèreté de la liberté.
Cette nuit, ce n'est pas mon corps qui c'est alléger, mais mon âme qui a pu ce dévoiler.
Merci
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