Fumée qui ce dissipe tranquillement
Toi mon seul astre qui éclaire de ta blancheur mon ame meurtrie
Au tréfond de moi je sens que je revie
Et ma muse assassiné subtilement
La pâleur de la vie
Les couleurs de ton esprit
Me battre pour que nous soi
Pour qu'enfin je sois
Et ce sont tes bras qui me protège des doutes
Puisque cahoteuse est notre route
Mais notre union innévitable
Devant une lune serviable
Te prendre la main pour ne plus la lacher
Qu'au claire livide de cette lumière tamisé
Nos âmes s'unissent dans le plus grand secret
Pour être plus unis que j'amais.
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